En plus du Nexus 4, Google a également profité de sa conférence téléphonique pour officialiser la « Nexus 10 », la première tablette grand format qu'il commercialise en son nom.
Après la Nexus 7 résolument nomade, Google lance comme attendu une tablette plus sédentaire, plus adaptée à la vidéo et aux magazines. La « Nexus 10 » dispose comme son nom l'indique d'un écran de 10 pouces, qui présente la particularité d'afficher une définition WQXGA (2560 x 1600 pixels), un record pour une tablette, soit une résolution de 300 pixels par pouce. La dalle PLS (dérivée de l'IPS) affiche bien 3 sous-pixels par pixel et est protégée par du verre Corning Gorilla Glass 2.
Fabriquée par Samsung, cette tablette reprend la paire d'enceintes frontales de la Galaxy Note 10.1. Elle abrite également un SoC maison, un Samsung Exynos combinant un CPU ARM Cortex-A15 double-cœur et un GPU ARM Mali-T604.
On retrouve également 2 Go de mémoire vive, 16 ou 32 Go de mémoire interne, pas d'emplacement microSD, un capteur dorsal à 5 millions de pixels, un capteur frontal à 1,9 millions de pixels et une connectivité riche comprenant Wi-Fi N, Bluetooth, NFC, micro USB et micro HDMI.
Sa batterie de 9000 mAh associée aux optimisations d'Android 4.2 Jelly Bean lui permettraient de revendiquer une autonomie de 9 h en lecture de vidéo HD, en dépit d'un poids raisonnable de 600 g.
La « Google Nexus 10 » sera lancée en France et dans d'autres pays de l'Europe et du monde entier le 13 novembre. Les modèles Wi-Fi de 16 et 32 Go seront vendus respectivement 400 et 500 euros sur le Google Play Store. Aucun modèle 3G ne semble prévu.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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