L'hypothétique « Acer Iconia Tab A700 » se précise. Après la publication prématurée d'une fiche technique mi-novembre sur le site du fabricant, c'est sur un prototype qu'un site Internet russe a mis la main hier. Acer pourrait bien présenter sa réponse à l'Asus Eee Pad Transformer Prime au CES.
L'« Iconia Tab A700 » reposerait effectivement à son tour sur le nouveau SoC Nvidia Tegra 3, embarquant notamment un CPU quadri-cœur cadencé à 1,30 GHz et un GPU performant prenant en charge le décodage de la vidéo Full HD 1080p.
Une compétence qu'elle mettrait plus que jamais à contribution puisqu'à défaut d'être convertible en ordinateur, elle embarquerait un écran WUXGA (1920 x 1200 pixels), une définition jamais atteinte sur une tablette d'une diagonale de 10,1 pouces !
Une orientation résolument multimédia
Une paire de haut-parleurs disposés en bas en position horizontale et une confortable batterie de 9800 mAh lui conférant une autonomie de 10 heures de lecture vidéo assoient son orientation multimédia, bien qu'aucune béquille, comme on en trouve sur l'Archos G9, ne soit malheureusement prévue. Une sortie micro HDMI permettrait quoi qu'il en soit de la relier à un grand écran.
Le capteur dorsal de 5 millions de pixels associé à une LED expliquerait quant à lui son absence sur la récente Iconia Tab A200, créant une gamme. Il serait associé à un capteur frontal de 2 millions de pixels pouvant assurer une visioconférence en haute définition.
On retrouverait enfin du Wi-Fi N, du Bluetooth 3.0, de la 3G, un emplacement microSD mais pas de port USB hôte standard, qui aurait faciliter la connexion d'un disque dur externe contenant des vidéos.
On peut quoi qu'il en soit s'attendre à ce que l'« Acer Iconia Tab A700 » soit présentée au CES 2012, qui se tiendra à Las Vegas du 10 au 13 janvier prochain.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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