Alcatel One Touch a récemment annoncé trois nouveaux smartphones Android économiques mais dignes d'intérêt. L'un d'eux, l'« Idol Ultra », revendique le titre de smartphone le plus fin au monde.
Idol Ultra
Alcatel One Touch, filiale du chinois TCL (et non du groupe franco-américain Alcatel-Lucent), lance pour commencer l'« Idol Ultra », qui revendique une épaisseur de 6,45 mm et le titre de smartphone le plus fin au monde. Cette épaisseur ne prend probablement pas en compte le relief de l'appareil photo mais la performance reste louable.
Pour ce faire, ce smartphone s'articule autour d'un écran OLED. L'absence de rétroéclairage permet effectivement d'économiser en épaisseur par rapport aux écrans LCD. Il mesure en l'occurrence 4,7 pouces et affiche une définition HD (1280 x 720 pixels). On trouve également un processeur double-cœur cadencé à 1,2 GHz, provenant vraisemblablement du chinois MediaTek, ainsi qu'un capteur frontal à 2 millions de pixels et un capteur dorsal à 8 millions de pixels filmant en Full HD 1080p.
L'ensemble repose sur Android 4.1 Jelly Bean et sera commercialisé en France « cet été » au prix public de 300 euros.
Idol
Alcatel One Touch décline le smartphone susmentionné en version LCD. Il ne se distingue de la version Ultra que par son écran à dalle IPS, et donc par son épaisseur supérieure, qui lui permet d'ailleurs d'accueillir une ou deux cartes SIM, pour respectivement 250 ou 280 euros. Il sera commercialisé en France à partir du mois de mai.
Scribe HD
La marque chinoise lance enfin ce que certains appellent une phablet, un grand smartphone s'articulant en l'occurrence autour d'un écran HD de 5 pouces prenant en charge la saisie au stylet, à la manière des Samsung Galaxy Note équipés de leur S Pen.
Il repose sur un SoC MediaTek à quatre cœurs, associé à un modem prenant en charge deux cartes SIM et le DC-HSDPA à 42 Mbps, et dispose lui aussi d'un capteur frontal HD 720p et d'un capteur dorsal à 8 millions de pixels. Il sera lancé au mois de juin au prix public de 300 euros.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
Rejoignez la communauté des passionnés de nouvelles technologies. Venez partager votre
passion et débattre de l’actualité avec nos membres qui s’entraident et partagent leur
expertise quotidiennement.
