Une fiche technique affriolante, mais à près de 1 300 dollars, cet écran gamer ne sera assurément pas pour tout le monde.
L'UltraGear 34GP950G est la dernière petite folie imaginée par LG. L'écran au format 21:9 est doté d'une dalle dite « fast IPS » et doit logiquement combiner angles de vision importants et réactivité parfaite.
Overdrive de 180 Hz
LG souligne effectivement qu'avec sa définition de 3 440 x 1 440, une fréquence de rafraîchissement de 180 Hz et un temps de réponse de 1 ms (gris à gris), son UltraGear 34GP950G est un modèle destiné aux joueurs.
Afin de parfaire la fiche technique de son bébé, LG précise aussi que la compatibilité NVIDIA G-Sync Ultimate est de la partie. Comme souvent, cela s'accompagne d'une connectique un peu faible avec seulement un HDMI, un DisplayPort et un hub USB 2 ports. Une prise audio jack est toutefois là pour la partie son.
Côté couleurs, LG évoque un ratio de contraste de 1000:1 et la couverture de 98% de l'espace colorimétrique DCI-P3. Le fabricant souligne aussi la certification VESA DisplayHDR 600 obtenue par son écran et la présence d'un rétroéclairage 56 zones. Notons que les angles de vision sont assez classiques pour de l'IPS : 178° à l'horizontale comme à la verticale.
Le pied de l'UltraGear 34GP950G n'est pas détaillé par LG qui préfère évoquer la présence du Sphere Lighting 2.0 sur l'arrière de son écran : un système de lumière indirecte qui doit réduire la fatigue visuelle autant que renforcer l'immersion.
Dès à présent disponible sur le site officiel de LG, l'UltraGear 34GP950G y est donc facturé la bagatelle de 1 299,99 dollars. Aucun tarif ni aucune date de disponibilité française n'ont en revanche été communiqués.
Source : TechPowerUp
- La dalle VA la + réactive du marché à ce jour
- Une courbure 1000R qui favorise l'immersion
- De belles couleurs et un excellent contraste
Ce premier moniteur incurvé 1 000R est une franche réussite et prouve que les dalles VA sont aussi bien taillées pour l’eSport que les technologies IPS ou TN.
L’Odyssey G7 excelle en jeu grâce à une avalanche de performances, des couleurs et une luminosité boostées par le filtre QLED, un excellent contraste et une courbure qui prend tout son sens lorsqu’il s’agit d’immersion. Ses caractéristiques sont cependant moins intéressantes pour un usage purement bureautique, Samsung a choisi le parti pris de convaincre avant tout les joueurs exigeants.
Hormis ses performances, l’Odyssey G7 se montre relativement fidèle avec un calibrage d’usine bien mené, autant pour le mode par défaut que le mode sRGB, en SDR comme en HDR. L’expérience qu’il propose avec les contenus HDR n’est toutefois pas des meilleures, la certification DisplayHDR 600 reste trop souple et le rétroéclairage du G7 par trop limité. Malgré tout, il apporte un petit coup de pouce pour les jeux HDR mais rien de comparable à des moniteurs qui affichent une certification DisplayHDR 1000.
Ce premier moniteur incurvé 1 000R est une franche réussite et prouve que les dalles VA sont aussi bien taillées pour l’eSport que les technologies IPS ou TN.
L’Odyssey G7 excelle en jeu grâce à une avalanche de performances, des couleurs et une luminosité boostées par le filtre QLED, un excellent contraste et une courbure qui prend tout son sens lorsqu’il s’agit d’immersion. Ses caractéristiques sont cependant moins intéressantes pour un usage purement bureautique, Samsung a choisi le parti pris de convaincre avant tout les joueurs exigeants.
Hormis ses performances, l’Odyssey G7 se montre relativement fidèle avec un calibrage d’usine bien mené, autant pour le mode par défaut que le mode sRGB, en SDR comme en HDR. L’expérience qu’il propose avec les contenus HDR n’est toutefois pas des meilleures, la certification DisplayHDR 600 reste trop souple et le rétroéclairage du G7 par trop limité. Malgré tout, il apporte un petit coup de pouce pour les jeux HDR mais rien de comparable à des moniteurs qui affichent une certification DisplayHDR 1000.