Samsung a récemment annoncé le renouvellement de son appareil photo hybride d'entrée de gamme. Le NX2000 succède donc au NX1000, un an après son lancement, et pousse encore un peu plus loin le concept de « Smart Camera ».
Si le NX1000 accueillait le Wi-Fi, le NX2000 mise sur le tactile, sur les traces de la gamme de compacts, sans pour autant adopter Android comme l'étonnant Galaxy Camera.
Un grand écran tactile
Le Samsung NX2000 reprend ainsi les grandes lignes de son prédécesseur, si ce n'est qu'au dos un grand écran tactile de 3,7 pouces (affichant 800 x 480 pixels) remplace la plupart des commandes. Seuls un bouton menu, un bouton visualisation et un bouton personnalisable complètent les indispensables déclencheurs (photo et vidéo) et la molette.
Cet écran facilite l'utilisation de fonctions telles que « Smart Face », qui prend cinq photos et permet de choisir indépendamment les meilleures expressions des personnes.
Wi-Fi et NFC
On retrouve par ailleurs le Wi-Fi, désormais associé à une connectivité NFC, qui permet d'automatiser la connexion de l'appareil photo à Internet via un smartphone, une tablette ou un ordinateur portable compatible, comme chez Panasonic. Il n'y a en revanche toujours pas de GPS.
Une fois connecté, ce « Smart Camera » peut toujours sauvegarder automatiquement les photos sur un service de stockage en ligne, les partager par email ou sur des réseaux sociaux, ou encore les afficher sur un grand écran via DLNA.
Sur le plan purement photographie enfin, le NX2000 hérite du capteur APS-C à 20 millions de pixels en service depuis deux générations, soit depuis quatre ans. Associé à la puce de traitement de dernière génération DRIMe IV, il photographie toujours à 8 i/s, filme toujours en Full HD à 25 ou 30 i/s, mais culmine dorénavant à 25600 ISO.
Le Samsung NX2000 sera commercialisé en France courant mai pour un prix non communiqué.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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