Sony vient d'annoncer en France deux nouveaux compacts modernes destinés au grand public. Les « Cyber-shot TX55 » et « WX30 » partagent l'essentiel de leur fiche technique mais le premier revendique le titre d'« appareil photo le plus fin au monde ».
Le compact le plus fin au monde ?
Abritant un zoom périscopique, le « TX55 » ne mesure effectivement que 13,2 mm d'épaisseur, à peine plus qu'un smartphone. Et la ressemblance avec ce type d'appareil ne s'arrête pas là puisque son dos est presque intégralement recouvert d'un écran OLED tactile à 920 000 points (VGA) de 3,3 pouces (8,3 cm).
Une variante abordable
Le « WX30 » en est en quelque sorte une variante abordable. Il mesure en contrepartie 19,1 mm d'épaisseur et s'en tient à un écran LCD de même définition mais d'une diagonale de 3 pouces (7,5 cm).
Une fiche technique par ailleurs identique
Les deux nouveaux compacts de Sony sont par ailleurs identiques. Ils abritent pour commencer le même capteur CMOS rétro-éclairé « Exmor R » de 1/2,3 pouce de diagonale, sur lequel s'entassent 16,2 millions de pixels.
Leur puce de traitement « Bionz » photographie jusqu'à 3200 ISO, alors que d'autres appareils de définition inférieure doublent cette sensibilité, mais aussi et surtout elle permet de filmer en Full HD 1080i au format AVCHD avec son stéréo.
Le zoom offre une amplitude 5 fois dans les deux cas mais est légèrement plus grand angle sur le WX30, où sa construction téléscopique lui permet de démarrer à 25 mm, que sur le TX55, où il ne démarre qu'à 26 mm. Il est quoi qu'il en soit stabilisé et estampillé Carl Zeiss Vario-Tessar.
Le stockage repose enfin sur une carte Memory Stick Micro ou sur une carte mémoire... microSD, et non SD. Sony n'arrive décidément pas à se décider concernant le support de stockage.
Les « Sony Cyber-shot TX55 » et « WX30 » seront commercialisés fin septembre aux prix publics respectifs de 380 et 250 euros. La compacité se paie donc comptant.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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