Canon annonce aujourd'hui comme prévu le renouvellement de son compact expert de la famille G. Avec le nouveau « PowerShot G12 », le fabricant occupe le terrain en dissociant l'annonce de ce modèle de celle de son faux jumeau « PowerShot S95 », bien qu'ils bénéficient tous deux d'une modernisation des mêmes aspects.
Le « Canon PowerShot G12 » offre effectivement sensiblement les mêmes apports sur le G11 que le S95 sur le PowerShot S90, en préservant à son tour l'essence de son prédécesseur.
Le G12 hérite donc tout comme le S95 du « système HS », qui garantit un certain nombre de fonctionnalités. Ainsi, le nouveau fleuron compact de Canon filme notamment en haute définition 720p à 24 i/s et avec son stéréo. En outre, il photographie désormais au-delà de 3200 ISO, en définition réduite jusqu'à 12800 ISO. La cadence s'accélère en rafale pour atteindre jusqu'à 2 i/s en pleine définition (contre 1,1 i/s sur son prédécesseur), et jusqu'à 4 i/s en définition réduite.
Il conserve par ailleurs le zoom, l'écran orientable et l'apparence générale du précédent modèle, mais accueille un nouveau revêtement ainsi qu'une nouvelle molette de réglage frontale qui améliorent son ergonomie.
Voici un extrait de sa fiche technique :
Capteur CCD de 1/1,7 pouce à 10 millions de pixels
Puce de traitement DIGIC 4
Sensibilité de 80 à 3200 ISO en pleine définition, extensible à 12800 ISO à 2,5 millions de pixels
Vidéo HD 720p à 24 i/s avec son stéréo
Zoom stabilisé grand angle équivalent à un 28-140 mm f/2,8-4,5
Ecran orientable de 7 cm (2,8 pouces) à 461 000 points
Le « Canon PowerShot G12 » sera commercialisé en France à partir du mois d'octobre au prix public de 550 euros. S'il s'affiche au prix d'un reflex d'entrée de gamme, il est quant à lui un compact haut de gamme qui s'adresse aux passionnés de photo, le plus souvent en complément d'un encombrant reflex expert, qui souhaitent un appareil photo passe partout.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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