Acer annonce aujourd'hui en France un nouveau netbook qui sort enfin du lot. Avec des annonces qui se suivent et se ressemblent désespérément, il en faut pourtant bien peu pour qu'un tel ordinateur se démarque. Au beau milieu de cette déferlante de clones, l'« Aspire One 522 » fait quant à lui figure de révolution.
Premier aspect distinctif, et non des moindres, l'« Aspire One 522 » n'affiche non pas l'éternelle définition WSVGA (1024 x 600 pixels) des écrans de 10,1 pouces (25,7 cm), mais une définition WXGA (1280 x 720 pixels), qui lui permet de revendiquer le titre d'écran « HD ». Une première ?
Cette aptitude à afficher de la haute définition ne vaudrait rien s'il ne pouvait en décoder. On en arrive donc à son deuxième point distinctif : il repose sur l'architecture AMD Fusion, en abritant un APU AMD C-50.
Si sa partie CPU, munie d'1 Mo de mémoire cache et cadencée à 1 GHz, est bien incapable de décoder de la vidéo haute définition, sa partie GPU Radeon HD 6250 assure quant à elle le décodage de la vidéo 1080p au travers de la fonction Unified Video Decoder 3 (UVD 3). Une sortie HDMI permet d'en tirer parti sur un écran externe.
Le CPU est épaulé par 1 Go de mémoire vive (limitation arbitraire incombant à Windows 7 Édition Starter) et le GPU par 256 Mo. Le stockage est quant à lui assuré par un disque dur de 250 Go (maximum autorisé pour l'édition Starter), qu'un lecteur de carte mémoire complète.
Une batterie à 6 cellules assure enfin l'alimentation électrique, pour une autonomie non communiquée, une épaisseur honorable de 25,7 mm et un poids de 1,3 kg.
L'« Acer Aspire One 522 » est commercialisé dès à présent en France au prix public de 300 euros, un tarif alléchant compte tenu des attraits de cette fiche technique originale.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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