Avec son large écran 16:9 de 17,3 pouces au traitement anti-reflets, le GT70 de MSI apparaît plus comme un transportable que comme un ordinateur portable. Il faut dire que sur la balance, le monstre accuse les 3,9 kilogrammes. Techniquement, il embarque un processeur Intel Core i7-3610QM de génération Ivy Bridge dont la fréquence de base est de 2,3 GHz et peut atteindre 3,3 GHz en Turbo. Il est épaulé par 12 Go de mémoire vive en DDR3. Le stockage, baptisé MSI Super RAID, consiste en deux SSD au format mSATA de 64 Go chacun fonctionnant en RAID 0 soit un total de 128 Go pour la partition Windows alors que MSI propose un disque dur de 750 Go pour l'archivage pur et dur (7200 tours minute).
La GeForce GTX 680M de ce GT70 est bien entendu basée sur l'architecture Kepler de NVIDIA, est compatible DirectX 11.1, et se voit épaulée de 4 Go de mémoire DDR5. Elle pilote un écran à la résolution de 1920x1080 pixels et MSI n'oublie pas de proposer des sorties HDMI et VGA sur son portable. On pourra du reste profiter de l'écran Full HD grâce au lecteur Blu-ray intégré.
Signalons sur ce portable, la présence d'un clavier SteelSeries multi-rétroéclairé, d'enceintes Dynaudio avec subwoofer et d'une puce Bigfoot Killer E2200 pour le réseau filaire. Cette dernière se distingue par ses optimisations sur les temps de latence notamment. Avec un circuit Wi-Fi i802.11n, le GT70 propose des ports USB 3.0, USB 2.0, un connecteur eSATA ainsi qu'une webcam frontale de 2 mégapixels.
Attendu pour le mois d'août 2012, le GT70 de MSI est annoncé au prix public conseillé de 2 299 euros TTC tout de même... avec Windows 7 Home Premium et une garantie constructeur de deux ans.
Passionné d'informatique depuis mon premier Amstrad 3086 XT et son processeur à 8 MHz, j'officie sur Clubic.com depuis ses presque débuts. Si je n'ai rien oublié d'Eternam, de MS-DOS 3.30 et de l'ineffable Aigle d'Or sur TO7, je reste fasciné par les évolutions constantes en matière de high-tech. Bercé par le hardware pur et dur, gourou ès carte graphique et CPU, je n'en garde pas moins un intérêt non feint pour les produits finis, fussent-ils logiciels. Rédacteur en chef pour la partie magazine de Clubic, je fais régner la terreur au sein de la rédaction ce qui m'a valu quelques surnoms sympathiques comme Judge Dredd ou Palpatine (les bons jours). Mon environnement de travail principal reste Windows même si je lorgne souvent du côté de Mac OS X.
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