Intel a confirmé la semaine dernière la disponibilité imminente du Compute Stick, l'ordinateur au format clé HDMI qu'il a présenté le mois dernier au CES 2015. L'occasion de découvrir le détail de la déclinaison Linux qui n'avait été qu'évoquée jusqu'à présent.
Intel a entériné par le biais d'un communiqué de presse la commercialisation au printemps 2015 du Compute Stick. Aux dernières nouvelles, il était attendu aux États-Unis au mois de mars. Cette fois, nous avons droit à un communiqué émanant de la branche française du fondeur, et même si les tarifs ne sont communiqués qu'en dollars, on peut s'attendre à ce qu'il soit aussi disponible en France, simultanément ou presque.
L'Intel Compute Stick est pour rappel une clé HDMI, qu'on enfiche à un téléviseur ou à un moniteur et qu'on alimente en micro USB depuis un port USB de l'écran (ou à défaut depuis un adaptateur secteur), à la manière d'un Google Chromecast. Mais contrairement à ce dernier, qui n'est qu'un récepteur passif pour téléphone ou tablette, l'appareil d'Intel est un véritable ordinateur : il peut exécuter Windows ou Linux.
10 x 4 x 1 cm
Pour 150 dollars (160 euros à date), le premier modèle est livré avec Windows 8.1 avec Bing. Il embarque un processeur Intel Atom Z3735F — un Bay Trail comportant quatre cœurs cadencés de 1,33 à 1,83 GHz —, 2 Go de mémoire vive et 32 Go de mémoire flash.
Le modèle Linux sera quant à lui vendu 100 dollars (105 euros à date), et se contentera de 1 Go de mémoire vive et de 8 Go de mémoire flash. La distribution Linux reste encore à déterminer.
Les deux modèles disposent d'un logement microSD pour l'extension de l'espace de stockage, d'une connectivité réseau Wi-Fi 802.11n, d'une connectivité Bluetooth 4.0 pour le clavier et la souris, et d'un port USB standard.
En somme, l'Intel Compute Stick est une clé HDMI honorable permettant de transformer un moniteur en un ordinateur de bureau tout-en-un d'entrée de gamme. Intel l'adresse aussi bien au marché grand public, pour des usages multimédias par exemple, qu'à l'entreprise, où cette clé permettrait selon lui la mise en place de postes de travail « légers ».
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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