La start-up norvégienne FXI Tech a récemment annoncé qu'elle était finalement sur le point de livrer les premières précommandes du « Cotton Candy ». L'occasion de faire le point sur les évolutions de cette clé USB ordinateur, depuis son annonce en novembre dernier.
La version finale du « Cotton Candy » bénéficie pour commencer d'une esthétique améliorée, d'un plastique de meilleure qualité et d'embouts de protection en caoutchouc disponibles dans plusieurs coloris.
Initialement attendu au mois de mars sous Android 2.3 Gingerbread, il a également pris du retard en raison du portage de la toute dernière révision d'Android 4.0 Ice Cream Sandwich. Ubuntu reste proposé lors de son activation.
Il abrite donc un SoC, comprenant un CPU mono-cœur ARM Cortex-A9 cadencé à 1,2 GHz et un GPU ARM Mali-400MP à quatre unités de calcul, épaulé par 1 Go de mémoire vive, assurant le décodage du VC-1 et du H.264 jusqu'en Full HD. Le stockage est assuré par une carte mémoire microSDHC (jusqu'à 64 Go) que l'acheteur loge dans l'emplacement latéral.
Le « Cotton Candy » peut être utilisé depuis un ordinateur, au travers de son connecteur USB 2.0 et d'un client de virtualisation inclus, ou de manière autonome, au travers de son connecteur HDMI. On connecte dans ce cas un clavier et une souris par le biais de sa connectivité Bluetooth 2.1, ou bien par le biais d'un nouveau port micro-USB qui a fait son apparition depuis l'annonce. Une connectivité Wi-Fi N assure enfin la liaison réseau.
Le « Cotton Candy » de FXI Tech sera expédié dans les pays scandinaves d'ici la fin du mois de mai, puis progressivement dans le reste du monde. Il devrait être facturé 200 dollars. Le fabricant a d'ores et déjà rempli son carnet de commande, mais il rappelle que son produit est une plateforme de développement, qu'il met à disposition des fabricants de toutes sortes de produits, tels que les fournisseurs d'accès à Internet pour leurs box, les fabricants de téléviseurs, etc.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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