Acer annonce aujourd'hui le renouvellement de son ordinateur de bureau haut de gamme destiné aux joueurs, une semaine seulement après celui de ses ordinateurs portables polyvalents. Le nouveau « Predator G3600 » adopte ainsi à son tour l'architecture Sandy Bridge, profitant de l'occasion pour une mise à niveau de l'esthétique du boîtier.
Proposé à partir d'un tarif très abordable, l'« Acer Predator G3600 » n'est pas une bête de course en standard, puisqu'il n'abrite dans cette configuration qu'un Core i3-2100, un double-cœur à 3,1 GHz et 3 Mo de cache dépourvu de mode Turbo. Il offre en revanche une large étendue d'options.
Il peut ainsi accueillir jusqu'au Core i7-2600, un quadri-cœur cadencé de 3,4 à 3,8 GHz et muni de 8 Mo de cache, jusqu'à 16 Go de mémoire vive DDR3, jusqu'à trois disques durs de 2 To et un graveur de Blu-ray, en plus d'une carte graphique Nvidia GeForce ou AMD Radeon « haut de gamme », sans plus de précision.
Difficile toutefois de convaincre un joueur avec tant d'inconnues.
Destiné également à un usage multimédia, il s'articule autour d'une carte mère grand public Intel H67, interdisant l'overclocking mais prenant en charge le GPU Intel GMA 3000 intégré aux processeurs Core de seconde génération. Un lecteur de carte mémoire et une télécommande Windows Media Center sont mêmes proposés en option.
L'« Acer Predator G3600 » s'adresse donc aux familles qui veulent faire d'une pierre deux coups en disposant d'un ordinateur véritablement polyvalent, y compris en jeu vidéo. Il sera commercialisé en France à une date inconnue pour un prix public de 700 euros.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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