Logitech a aujourd'hui annoncé l'« Optical Gaming Mouse G400 », qui n'est pas une variante de la G500, contrairement à ce que son nom semble indiquer, mais qui remplace plutôt cette bonne vieille MX518, lancée en 2005 !
La nouvelle « Logitech G400 » est effectivement la digne héritière de la MX518, dont elle reprend pour commencer l'ergonomie éprouvée, inchangée depuis l'ancestrale MX500 de 2002.
Sur le plan extérieur, elle troque en revanche l'imitation impacts de balles pour une coque unie, beaucoup plus sobre et passe-partout. Son nouveau cordon USB est quant à lui plus fin et 25 % plus léger, ce qui réduit sa résistance et améliore par conséquent sa maniabilité. Dans le même ordre d'idée, elle conserve en outre ses patins à faible frottement en téflon.
À l'intérieur, elle s'en tient par ailleurs à un capteur optique, par opposition au capteur laser de la G500, dont la résolution maximale a doublé pour l'occasion, passant de 1800 à 3600 point par pouce. La sensibilité réglable à la volée, sans pilote additionnel, s'octroie donc un quatrième palier, en plus de ceux à 400, 800 et 1600 ppp. Le taux de rafraichissement a quant à lui été porté de 125 à 1000 Hz, soit un temps de réponse passant de 8 à 1 milliseconde.
Si elle fonctionne sans pilote additionnel, elle est malgré tout prise en charge par le logiciel maison permettant d'associer des scripts à certains de ses sept boutons.
La « Logitech Optical Gaming Mouse G400 » remplacera la MX518 à la mi-juillet, au même tarif. Si cette modeste mise à jour ne justifie pas le remplacement de sa devancière, elle mérite en revanche de repousser un achat. Elle sera donc commercialisé au prix public de 45 euros en France.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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