Sony a aujourd'hui annoncé en France un écran externe destiné à ceux qui tournent de la vidéo avec leur appareil photo ou caméra numérique. Le « CLM-V55 » complète avantageusement l'écran intégré à ces dispositifs en offrant une diagonale confortable et de multiples fonctions dédiées. Son officialisation est l'occasion d'en découvrir le prix et la date de commercialisation, qui n'étaient jusqu'à présent pas confirmés.
Le « Sony CLM-V55 » s'articule effectivement autour d'un panneau LCD d'une diagonale de 5 pouces (12,7 cm), près du double des 3 pouces de la plupart des reflex. Affichant une définition WVGA (800 x 480 pixels), il n'apporte en revanche qu'un gain minime par rapport à l'habituelle VGA. S'il est fort malheureusement brillant, il est en revanche livré avec une casquette amovible.
Il offre donc une fonction d'agrandissement permettant de faire le point avec précision. Celle-ci est complétée d'une fonction colour peaking qui détecte les micro-contrastes pour mettre en surbrillance les bordures des sujets nets. Un menu accessible au moyen d'une molette permet d'ajuster la luminosité, son ajustement automatique, le contraste, la tonalité (phase), la température des couleurs et enfin le volume de son haut parleur mono ou de sa sortie casque.
Il est alimenté par sa propre batterie (lui conférant une autonomie non communiquée) ou par un adaptateur secteur, et se connecte à sa source au travers d'un câble HDMI. Il peut donc être relié à un appareil photo ou à une caméra numérique, qu'ils soient de marque Sony ou non, mais aussi à n'importe quel dispositif muni d'un port HDMI, pour un usage détourné : une console de jeu, un ordinateur portable, une tablette ou encore un smartphone.
Vendu en France au prix public de 400 euros à partir du mois de mars 2011, le « Sony CLM-V55 » se destine donc malgré tout plutôt à ceux qui tireront parti de ses fonctions spécifiques.
Le Sony CLM-V55 monté sur un Canon EOS 7D
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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