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On en sait un peu plus sur les conditions qui ont conduites à voir émerger en parallèle deux sites utilisant des adresses proches du site du ministère des Affaires étrangères. diplomatiegov.fr et diplomatie.gouv.fr (l'officiel) étaient en ligne. Le premier visait clairement à prendre une partie du trafic du ministère pour délivrer un message pour la défense d'Haïti.
Le Comité pour le remboursement immédiat des milliards envolés, le CRIME, revendique la paternité du faux site. Il réclame, le versement de 21 milliards de dollars à Haïti pour réparation en guise de remboursement causé par la « perte des profits liés au trafic d'esclaves suite à l'indépendance du peuple haïtien, au début du dix-neuvième siècle », selon le NouvelObs.com.
Du côté du Quai d'Orsay, la tentative de médiatisation est moyennement appréciée puisqu'il s'agit clairement de typo-squatting (utilisation d'adresse proche) visant à induire volontairement en erreur un internaute. Une entreprise qui peut être assimilée à du « parasitisme » pour ce qui concerne certaines entreprises privées.
Si la direction informatique du ministère des Affaires étrangères explique qu'elle étudie ses voies de recours, même si un nouveau site (diplomatiegov.info) a vu le jour, à la suite de la fermeture du .fr. l'affaire n'est donc pas terminée même si l'on pourra s'étonner que le ministère n'ait pas acquis plusieurs domaines relatifs à son site principal.
Le Comité pour le remboursement immédiat des milliards envolés, le CRIME, revendique la paternité du faux site. Il réclame, le versement de 21 milliards de dollars à Haïti pour réparation en guise de remboursement causé par la « perte des profits liés au trafic d'esclaves suite à l'indépendance du peuple haïtien, au début du dix-neuvième siècle », selon le NouvelObs.com.
Du côté du Quai d'Orsay, la tentative de médiatisation est moyennement appréciée puisqu'il s'agit clairement de typo-squatting (utilisation d'adresse proche) visant à induire volontairement en erreur un internaute. Une entreprise qui peut être assimilée à du « parasitisme » pour ce qui concerne certaines entreprises privées.
Si la direction informatique du ministère des Affaires étrangères explique qu'elle étudie ses voies de recours, même si un nouveau site (diplomatiegov.info) a vu le jour, à la suite de la fermeture du .fr. l'affaire n'est donc pas terminée même si l'on pourra s'étonner que le ministère n'ait pas acquis plusieurs domaines relatifs à son site principal.