Le ministre français de l'Économie refuse que la cryptomonnaie présentée il y a quelques semaines par Facebook ne devienne une monnaie souveraine, qui entre en concurrence avec les devises d'autres états.
Surprise pour Remixpoint, qui gère la société de crypto-exchange BitPoint : 3,5 milliards de yen ont disparu de la caisse numérique, représentant 28 millions d'euros.
Comme la plupart des acteurs mondiaux financiers, la Banque populaire de Chine redoute que la monnaie virtuelle de Facebook ne dérègle la stabilité financière.
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Les élus américains soutiennent avoir besoin de plus de temps pour pouvoir juger de l'impact potentiel de la Libra sur le système financier et l'économie du pays.
Un promoteur australien donne la possibilité d'acheter un bien en utilisant de la cryptomonnaie. Ce projet immobilier inédit veut mettre en avant et populariser ces nouveaux moyens de paiement.
Opera, le rival norvégien de Google, a lancé l'année dernière Opera Touch, un navigateur présenté comme suffisamment simple pour être utilisé d'une seule main. Implémenté en mai 2018 sur Android puis en octobre 2018 sur iOS, le navigateur a récemment annoncé des nouveautés sur le système Apple.
Les régulateurs et banquiers centraux veulent en savoir plus sur la monnaie virtuelle du géant des réseaux sociaux, qui suscite une certaine appréhension.
En moins de 24 heures, le bitcoin a gagné près de 9 %. L'arrivée de Facebook sur le marché de la cryptomonnaie avec le Libra a relancé l'intérêt mondial autour des différentes devises en circulation.
Après des mois de rumeurs, Facebook a annoncé la naissance de sa cryptomonnaie. Libra sera utilisable à travers de nombreux services, et Facebook proposera en parallèle une application servant de portefeuille numérique pour gérer ses fonds et transférer de l'argent.
Le patron de Free a investi, via le groupe Iliad, au moins 10 millions d'euros dans le projet entrepris par les équipes du réseau social. Il est pour le moment le seul partenaire français parmi d'autres très grands noms de la tech mondiale.
L'utilisation de Bitcoin générerait environ 22,9 mégatonnes d'émissions de CO2 par an, ce qui est comparable aux émissions (totales) de villes telles que Hambourg ou Las Vegas.
Sale temps pour les mineurs de crypto-monnaies en Inde. Un projet de loi qui doit être débattu prochainement au Parlement indien prévoit l'interdiction pure et simple de l'achat, de la vente, mais aussi du minage de monnaies virtuelles. En cas d'adoption dudit texte, les entreprises et personnes s'adonnant à ces activités, jusqu'à présent tolérées, seraient alors passibles d'une peine fixée à 10 ans de prison.
L'application de messagerie, forte de plusieurs centaines de millions d'utilisateurs, fait office de terrain idéal pour la blockchain TON, qui devrait être lancée en fin d'année.
