Du côté des fonctionnalités, Photoshop Elements conserve l'organiseur de photos hérité de PhotoShop Album et se dote d'un outil de sélection rapide. Il inaugure qui plus est une version améliorée de Photomerge permettant de combiner le meilleur de deux photos de groupe. Afin de guider l'utilisateur dans les étapes parfois délicates de la retouche photographique, Photoshop Elements se dote d'un mode baptisé « Modification guidée » et prodiguant des conseils à l'utilisateur au travers des étapes de modification d'une photographie.
De son côté, Premiere Elements 4.0 s'enrichit de nouveaux effets spéciaux, qu'il s'agisse de transitions ou de titres alors qu'il inaugure un module de titrage animé. Adobe introduit la fonction de thèmes pour permettre en quelques clics de réaliser un montage complet d'un film avec transition, menu DVD et effets spéciaux. Supportant le HDV, Premiere Elements 4.0 ne gère pas (encore) le AVCHD mais se dote, en ce qui concerne l'audio, d'une table de mixage. Enfin, Adobe propose un centre de partage qui permet de partager ses productions aussi sur des périphériques mobiles comme l'iPod ou l'iPhone que sur des sites Web de type YouTube, le logiciel encodant les vidéos au format Flash (FLV).
Adobe annonce une disponibilité à la mi-octobre pour un prix public conseillé de 149 euros TTC pour le coffret regroupant Adobe Photoshop Elements 6.0 et Premiere Elements 4.0. Une version mise à jour sera disponible au prix de 119 euros TTC.
Passionné d'informatique depuis mon premier Amstrad 3086 XT et son processeur à 8 MHz, j'officie sur Clubic.com depuis ses presque débuts. Si je n'ai rien oublié d'Eternam, de MS-DOS 3.30 et de l'ineffable Aigle d'Or sur TO7, je reste fasciné par les évolutions constantes en matière de high-tech. Bercé par le hardware pur et dur, gourou ès carte graphique et CPU, je n'en garde pas moins un intérêt non feint pour les produits finis, fussent-ils logiciels. Rédacteur en chef pour la partie magazine de Clubic, je fais régner la terreur au sein de la rédaction ce qui m'a valu quelques surnoms sympathiques comme Judge Dredd ou Palpatine (les bons jours). Mon environnement de travail principal reste Windows même si je lorgne souvent du côté de Mac OS X.
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