Le client BitTorrent aurait atteint la barre symbolique des 100 millions d'utilisateurs actifs par mois. Les internautes continuent d'utiliser la technologie peer-to-peer (P2P) et disposent depuis peu d'une nouvelle version finale 3.0 d'µTorrent.
Pas moins de 100 millions d'internautes utiliseraient µTorrent chaque mois. Le micro-client deviendrait ainsi le plus utilisé, loin devant Vuze, ABC ou encore Bitspirit. Ce succès peut en partie s'expliquer par les évolutions successives du service.
Dernier épisode en date, au mois de juin, l'éditeur BitTorrent Inc a dévoilé la version finale de µTorrent 3.0. Cette mouture apporte de nouvelles fonctionnalités rendant le client plus facile d'accès. De même, le service a également introduit la possibilité de noter les contenus ou de poster un commentaire sur un fichier Torrent. Des innovations qui, semble-t-il, contribuent au succès du client.
Le site TorrentFreak commente cette évolution et explique qu'au fil des années, l'utilisateur moyen d'µTorrent a changé de profil passant du « Geek à la mère de famille, aux grands-parents ou à tout ceux qui ne sont pas des experts en informatique ». Enfin, le site spécialisé ironise sur le fait que les utilisateurs qui disposent du logiciel l'utilisent régulièrement (au moins une fois par mois). Une régularité qui fait parfois défaut à certains réseaux sociaux comme Twitter...
Olivier Robillart
Mêler informatique, politique et journalisme tu essaieras ! Voilà ce que m'a demandé un jour un monsieur ridé tout vert qui traînait dans un square en bas de mon immeuble. J'essaie désormais de rempli...
Mêler informatique, politique et journalisme tu essaieras ! Voilà ce que m'a demandé un jour un monsieur ridé tout vert qui traînait dans un square en bas de mon immeuble. J'essaie désormais de remplir cette mission en tant que rédacteur pour Clubic.
Je traite principalement de politique numérique tout comme de sécurité informatique et d’e-Business. Passionné de Star Wars, de Monster Hunter, d’Heroic Fantasy et de loisirs numériques, je collabore régulièrement à de multiples projets vidéo de la rédaction.
J’ai également pris la fâcheuse habitude de distribuer aux lecteurs leur dose hebdomadaire de troll via la Clubic Week.
Bien que le téléchargement (direct ou en P2P) ne soit pas illégal en soi, il est interdit de télécharger des œuvres protégées par le droit d'auteur ou d’autres droits de propriété intellectuelle sans l’autorisation des titulaires de ces droits.
Clubic recommande expressément aux utilisateurs de son site et aux tiers de respecter scrupuleusement ces droits ; étant rappelé qu’en France
la violation des droits d’auteurs est constitutive du délit de contrefaçon puni d’une peine de 300 000 euros d’amende et de 3 ans d'emprisonnement (art. L. 335-2 s. CPI) et qu’il existe également des sanctions spécifiques en cas de contournement de mesures techniques de protection (art. L. 335-3-1 et L.335-3-2 CPI). En outre, le titulaire de l’abonnement à internet doit veiller à l’usage licite de sa connexion, sauf à s’exposer au risque de contravention de négligence caractérisée sanctionnée par une peine d’amende de 1 500 € pour les personnes physiques. En cas d’utilisation d’un logiciel P2P pour télécharger ou mettre à disposition des œuvres protégées par le droit d’auteur, sans autorisation, le titulaire de la connexion à internet pourra être destinataire de recommandations de l’Arcom et, en cas de constats répétés, être poursuivi sur le fondement de la contravention de négligence caractérisée.
Plus d'informations sur le téléchargement illégal
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