Le chinois Xiaomi a récemment annoncé le Mi3, un nouveau smartphone très haut de gamme vendu à bas prix.
Xiaomi a annoncé jeudi dernier le renouvellement de son smartphone haut de gamme. Le réputé fabricant chinois a lancé le Mi3, qui succède au Mi-Two lancé il y a un an et qui bénéficie à nouveau de quelques premières mondiales.
Un Snapdragon 800 encore plus performant
Ce nouveau smartphone très haut de gamme, qui n'a rien à envier aux meilleurs smartphones occidentaux, est effectivement le premier à embarquer une puce Qualcomm MSM8974AB, une version améliorée du fameux Snapdragon 800. Avec cette puce le GPU Adreno 330 passe de 450 à 550 MHz, la mémoire vive LPDDR3 de 800 à 933 MHz, et on retrouve les quatre cœurs Krait 400 cadencés en l'occurrence à 2,3 GHz.
En fonction du réseau cellulaire, le MI3 peut également embarquer une puce Nvidia Tegra 4 constituée d'un CPU à 4+1 cœurs à 1,8 GHz et d'un GPU à 72 unités de calcul.
Associé à 2 Go de mémoire vive et à 16 Go de mémoire interne, il offrirait dans les deux cas des performances similaires.
Un smartphone à la pointe
Le Xiaomi MIUI MI3 adopte par ailleurs ce qui se fait de mieux sur le marché des smartphones. Il dispose pour commencer d'un écran IPS Full HD de 5 pouces (440 pixels par pouce) qui présente la particularité d'être super sensitif, c'est-à-dire de fonctionner avec des gants.
Il dispose en outre d'un capteur dorsal à 13 millions de pixels reposant sur le procédé stacked CMOS de Sony. Il est coiffé d'un objectif à cinq lentilles équivalent à un 28 mm f/2,2 et associé à un deux LED fournies par Philips.
Mesurant 144 x 72 x 8,1 mm pour 145 g, il est enfin alimenté par une batterie à 3050 mAh et repose sur l'élégante ROM Android Miui 5, ouvertement inspirée d'iOS.
Le Xiaomi MIUI MI3 sera prochainement commercialisé en Chine pour 2000 à 2500 yuans avec 16 à 64 Go, soit l'équivalent de 250 à 310 euros. Xiaomi n'est distribué qu'en Asie, mais ses produits sont assez intéressants pour être proposés par certains importateurs.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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