Une Aston Martin d'inspiration Tesla par le chinois LeEco

02 mai 2016 à 17h24
0
Diaporama : 15 cockpits de voitures pour technophiles

Le chinois LeEco a profité la semaine dernière du salon de l'automobile de Chine (Auto China) pour inaugurer la deuxième génération de sa plateforme embarquée LeAutolink IoV sur une Aston Martin Rapide S.

0230000008430590-photo-aston-martin-rapide-s-leeco-leautolink-iov.jpg

Inconnu jusqu'à récemment, LeEco est pour rappel un groupe technologique chinois, numéro un de la vidéo en Chine (notamment avec un équivalent local de Netflix), qui se diversifie depuis peu dans l'automobile. L'entreprise s'est fait connaitre en occident pour sa proximité avec le constructeur Faraday Future, mais aussi avec Aston Martin, pour lequel il prépare une version électrique de la luxueuse berline Rapide S.

Aston Martin RapidE : vers une rivale "sportive" de la Model S

08430592-photo-aston-martin-rapide-s-leeco-leautolink-iov.jpg

Ecrans, services en ligne et reconnaissance faciale

L'Aston Martin Rapide S qu'il a équipée de sa solution LeAutolink IoV donne un avant gout de la future rivale « sportive » de la Tesla Model S. LeEco a remplacé la console centrale et le combiné d'instruments analogiques par deux écrans, dont un à la verticale, exactement comme dans la voiture américaine.

Ce grand écran donne accès aux dernières fonctions en vogue, telles qu'une interface personnalisable, des services en ligne (applications LeCloud), une navigation plein écran ou encore une vue vidéo à 360 degrés facilitant les manœuvres. Surtout, la plateforme de LeEco met en œuvre la reconnaissance faciale pour charger automatiquement les préférences des différents utilisateurs d'une voiture : réglage des rétroviseurs et fauteuils électriques, paramètres de l'interface, des applications, etc.

Aucun prix ni aucune date de commercialisation ne sont communiqués, pas même pour la Chine.

03E8000008430596-photo-habitacle-d-aston-martin-rapide-s.jpg
L'Aston Martin Rapide S d'origine

Romain Heuillard

C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...

Lire d'autres articles

C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique. Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit. Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.

Lire d'autres articles
Vous êtes un utilisateur de Google Actualités ou de WhatsApp ? Suivez-nous pour ne rien rater de l'actu tech !
google-news

A découvrir en vidéo

Rejoignez la communauté Clubic S'inscrire

Rejoignez la communauté des passionnés de nouvelles technologies. Venez partager votre passion et débattre de l’actualité avec nos membres qui s’entraident et partagent leur expertise quotidiennement.

S'inscrire

Commentaires

Haut de page

Sur le même sujet