À l'heure où les fabricants délaissent voire abandonnent le netbook au profit de la tablette, celui à qui l'on doit cette catégorie n'en démord pas et prépare le renouveau de sa gamme. Asus a effectivement publié sur son site Internet la fiche d'un tout nouvel « Eee PC 1225B ».
296 x 200 x 28 à 35 mm pour 1,44 kg
L'« Asus Eee PC 1225B » abandonne donc l'esthétique seashell (coquillage) en vigueur depuis un moment pour inaugurer un nouveau boitier, inspiré des ultra-portables de la série U, loués à la fois pour leur finesse et leur finition. Si l'on en croit les photos le nouveau venu serait ainsi, à l'instar d'un ultrabook, trop fin pour accueillir une sortie VGA standard.
L'écran passe pour ce faire de 12,1 à 11,6 pouces de diagonale, mais il maintient la définition WXGA (1366 x 768 pixels) et le rétro-éclairage à LED.
Il hérite en revanche de la plateforme AMD Fusion de son prédécesseur, l'Eee PC 1215B, faut de mieux. Il abrite donc un APU AMD C-60 (double cœur à 1,00 GHz et 1 Mo de cache) avec une Radeon HD 6290 ou un APU AMD E-450 (double cœur à 1,65 GHz et 1 Mo de cache) avec une Radeon HD 6320, épaulé par 2 à 4 Go de mémoire vive DDR3. Le stockage est confié à un disque dur de 320, 500 ou dorénavant 750 Go, et à un lecteur de carte SDXC.
La connectique accueille deux ports USB 3.0, en plus d'un troisième port USB 2.0, et on retrouve par ailleurs une sortie HDMI, une sortie VGA (au travers d'un adaptateur ?), une sortie casque et une entrée micro distinctes, un port Ethernet Gigabit, du Wi-Fi N et du Bluetooth 3.0. La webcam s'en tient à une modeste définition VGA, alors que le 1,3 million de pixels est démocratisé.
L'« Asus Eee PC 1225B » offre enfin une autonomie de 7 heures avec sa batterie de 56 Wh à 6 cellules. Il sera prochainement commercialisé au prix public de 350 euros.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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