Toshiba a finalement annoncé la commercialisation de ses téléviseurs Ultra HD, et en a donc finalement révélé la tarification.
Après Sharp avec son modèle de 70 pouces hier, c'est aujourd'hui au tour de Toshiba de profiter du salon CE Week (littéralement semaine de l'électronique grand public) pour annoncer la commercialisation de ses téléviseurs Ultra HD aux États-Unis. Il les avait présentés en début d'année au CES, puis en Europe, mais n'en avait encore révélé ni les prix, ni les dates de lancement.
C'est désormais chose faite, du moins aux USA. Ces téléviseurs Toshiba L9300U Series y seront disponibles au mois d'août. Ils seront proposés en 58, 65 ou 84 pouces pour respectivement 5000, 7000 et 17000 dollars.
Les tarifs européens ne sont pas encore communiqués, mais on peut d'ores et déjà constater que le modèle de 58 pouces sera vendu approximativement au même prix que celui de 55 pouces de Sony, qu'on attend à plus ou moins 5000 euros sur le vieux continent. Celui de 84 pouces en revanche sera sensiblement moins cher que les modèles concurrents : celui de LG, le moins cher de tous, est vendu 22 000 dollars aux États-Unis et 15 000 euros en Europe.
Une qualité "proche du 4K"
Dans tous les cas, les Toshiba de la série L9300U disposent de dalles Ultra HD (autrefois appelées 4K) de 3840 x 2160 pixels associées à des puces de traitement CEVO 4K à quatre + deux cœurs. Louons à ce titre l'honnêteté de Toshiba, qui promet aux consommateurs une qualité « proche du 4K » avec sa fonction de mise à l'échelle (upscaling).
Un taux de rafraichissement de 240 Hz, une nouvelle plateforme connectée Smart TV, le DLNA, le Wi-Fi, le WiDi et Miracast complètent enfin la fiche technique.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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