SanDisk a aujourd'hui annoncé de nouveaux supports de stockage, et en particulier de nouvelles cartes mémoires et clés USB haut de gamme qui établiraient selon le fabricant de nouveaux records.
Une microSD « Extreme Pro »
Alors que les smartphones sont de plus en plus performants, les cartes mémoire microSD qu'ils abritent pour la plupart ont stagné quelques temps. SanDisk décline aujourd'hui la marque « Extreme Pro », habituellement destinée aux appareils photo professionnels, au format microSDHC.
La nouvelle carte mémoire est estampillée UHS-I (Ultra High Speed 1) et revendique des taux de transferts de 95 et 90 Mo/s en lecture et écriture séquentielle, s'alignant ainsi avec les cartes SD les plus performantes. De quoi déplacer le goulet d'étranglement de la totalité des smartphones ou terminaux mobiles actuellement sur le marché, y compris de ceux filmant en Full HD 3D.
La microSD Extreme Pro est disponible aux États-Unis en capacité de 8 et 16 Go pour 60 et 100 dollars HT.
Une clé USB « Extreme »
Les clés USB aussi ont droit à leur modèle « Extreme », avec un nouveau modèle revendiquant un taux de transfert record de 190 Mo/s, sans qu'on sache si c'est seulement en lecture ou aussi en écriture. Cette clé USB exploite naturellement l'USB 3.0, mais elle est encore loin des 625 Mo/s permis par cette connectique.
Elle est proposée en 16, 32 ou 64 Go pour 65 à 160 dollars HT.
Une capacité record de 128 Go
SanDisk revendique enfin le titre de clé USB offrant la plus grande capacité avec la nouvelle gamme « Cruzer Glide », proposée dans des capacités allant de 4 à 128 Go. Cette fois le fabricant ne mise pas sur les performances mais sur la capacité. Le coût au gigaoctet est malgré tout nettement moins bon que pour un SSD externe, puisque le modèle de 128 Go sera lancé au troisième trimestre au prix public de 250 dollars. À n'acquérir que si la compacité est un critère prépondérant, donc.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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