Cette nouvelle carte mère ATX utilise le chipset Intel Z97 (voir à ce sujet notre dossier consacré au Core i7 4790K Devil's Canyon et au chipset Intel Z97) et adopte le socket LGA-1150. Avec quatre emplacements mémoire DDR3, la carte propose trois connecteurs PCI-Express 16x (en mode SLI les deux premiers connecteurs compatibles PCI-Express 3.0 fonctionnent sur 8x, le troisième connecteur PCI-Express 2.0 étant câblé en 4x) et trois connecteurs PCI-Express 2.0 1x. Asus offrant la prise en charge des technologies multiGPU du SLI et Crossfire.
La partie stockage est composée de six ports Serial-ATA 6 Gb/s et un port SATA Express 10 Go/s qui peut offrir 2 ports Serial-ATA 6 Gb/s additionnels au besoin. Pour la connectique, Asus propose quatre ports USB 3.0, quatre ports USB 2.0, ainsi qu'une prise HDMI et un port DisplayPort.
Asus inclut sur cette carte deux contrôleurs réseau Gigabit, l'un signé Intel, l'autre Realtek et la particularité de ce modèle, gamme Sabertooth oblige, est bien entendu à chercher du côté du système de refroidissement. On retrouve donc un revêtement baptisé Thermal Armor : c'est une sorte de radiateur géant recouvrant les composants et les protégeant tant de chocs potentiels et de la poussière. La plaque est de couleur blanche pour accompagner le PCB de la carte mère, lui aussi tout de blanc vêtu. Asus a usiné son revêtement de sorte qu'il comporte des conduits d'aération et c'est pour cette raison qu'on trouve un ventilateur générant un flux d'air dans l'ensemble.
La carte mère Sabertooth Z97 Mark S est annoncée au prix public conseillé de 289 euros TTC pour une disponibilité dès le 1er décembre.
Passionné d'informatique depuis mon premier Amstrad 3086 XT et son processeur à 8 MHz, j'officie sur Clubic.com depuis ses presque débuts. Si je n'ai rien oublié d'Eternam, de MS-DOS 3.30 et de l'ineffable Aigle d'Or sur TO7, je reste fasciné par les évolutions constantes en matière de high-tech. Bercé par le hardware pur et dur, gourou ès carte graphique et CPU, je n'en garde pas moins un intérêt non feint pour les produits finis, fussent-ils logiciels. Rédacteur en chef pour la partie magazine de Clubic, je fais régner la terreur au sein de la rédaction ce qui m'a valu quelques surnoms sympathiques comme Judge Dredd ou Palpatine (les bons jours). Mon environnement de travail principal reste Windows même si je lorgne souvent du côté de Mac OS X.
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