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L'association estime que le ministère français de le l'économie cherche "à ignorer la protection économique des consommateurs", en prônant la médiation.
L'UFC-Que Choisir est sortie déçue de l'assemblée plénière du Conseil national de la Consommation (CNC) du 7 juillet 2005.
Au cours de cette réunion Thierry BRETON, ancien président du groupe France Télécom, désormais ministre de l'économie, a présenté les grands axes de sa politique de consommation.
Pou l'Union fédérale des consommateurs, le programme gouvernemental se résumera pour l'essentiel à la promotion d'une médiation "moderne" dans le règlement des litiges entre consommateurs et professionnels.
Or l'UFC souligne "connaître les limites de cette forme de résolution des litiges qui ne peut garantir de façon satisfaisante le respect des droits des consommateurs."
La médiation ne doit pas être rejetée.
Toutefois, les pouvoirs publics semblent tenir un double langage : Le bâton contre les particuliers afin de mieux lutter contre le piratage sur Internet d'œuvres de l'esprit (musique, films, logiciels, jeux vidéo...), la langue de bois pour les industriels.
Enfin, Que Choisir regrette vivement que "la problématique de protection économique des consommateurs n'est pas été abordée, notamment en ce qui concerne :
L'accès pour tous à l'Internet haut débit, aux services bancaires, les pratiques anti-concurrentielles et les tarifs pratiqués sur des secteurs clés : téléphonie mobile (durées d'engagement, des frais de résiliation déconnectés des coûts, préavis de résiliation injustifiés services financiers, gestion de la distribution d'eau....
Rappelons le T. BRETON a été aux commandes de l'opérateur historique, avant d'être invité à rejoindre le MINEFI. IIl est à l'origine du passage dans la sphère publique du groupe (FT, Orange et Wanadoo), d'un plan de reclassement des uns et des autres.
L'UFC-Que Choisir est sortie déçue de l'assemblée plénière du Conseil national de la Consommation (CNC) du 7 juillet 2005.
Au cours de cette réunion Thierry BRETON, ancien président du groupe France Télécom, désormais ministre de l'économie, a présenté les grands axes de sa politique de consommation.
Pou l'Union fédérale des consommateurs, le programme gouvernemental se résumera pour l'essentiel à la promotion d'une médiation "moderne" dans le règlement des litiges entre consommateurs et professionnels.
Or l'UFC souligne "connaître les limites de cette forme de résolution des litiges qui ne peut garantir de façon satisfaisante le respect des droits des consommateurs."
La médiation ne doit pas être rejetée.
Toutefois, les pouvoirs publics semblent tenir un double langage : Le bâton contre les particuliers afin de mieux lutter contre le piratage sur Internet d'œuvres de l'esprit (musique, films, logiciels, jeux vidéo...), la langue de bois pour les industriels.
Enfin, Que Choisir regrette vivement que "la problématique de protection économique des consommateurs n'est pas été abordée, notamment en ce qui concerne :
L'accès pour tous à l'Internet haut débit, aux services bancaires, les pratiques anti-concurrentielles et les tarifs pratiqués sur des secteurs clés : téléphonie mobile (durées d'engagement, des frais de résiliation déconnectés des coûts, préavis de résiliation injustifiés services financiers, gestion de la distribution d'eau....
Rappelons le T. BRETON a été aux commandes de l'opérateur historique, avant d'être invité à rejoindre le MINEFI. IIl est à l'origine du passage dans la sphère publique du groupe (FT, Orange et Wanadoo), d'un plan de reclassement des uns et des autres.
