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La Commission européenne a ouvert une enquête sur les prix de vente des DVD au sein des pays de l'Union.
La Commission européenne réalise une enquête sur les prix de vente des disques vidéo numériques (DVD digital versatile disc) pratiqués au sein des pays de l'Union.
Un constat : Les tarifs proposés aux consommateurs européens sont souvent bien plus élevés qu'aux Etats-Unis...
L'institution européenne rappelle qu'une enquête similaire avait été menée sur le prix des CD audio, et que celle-ci avait permis de mettre fin à des pratiques «anticoncurrentielles.»
En ce qui concerne les disques vidéo, les fabricants de lecteurs soutenus par l'industrie cinématographique ont développé «un système de codage régional des DVD.»
La question est de savoir si un consommateur qui achète un DVD aux Etats-Unis doit être empêché de lire ce disque vidéo sur un lecteur du vieux continent.
Pour Marion MONTI Commissaire européen à la concurrence les choses sont claires :
«Nous ne permettrons pas qu'un tel système soit utilisé comme un rideau de fumée pour permettre aux entreprises de maintenir artificiellement des prix élevés ou de gêner le choix des consommateurs sous prétexte d'une plus grande protection des droits de propriété intellectuelle.»
Sony (Columbia Pictures), Disney, AOL (Warner Bros), Metro-Goldwyn-Mayer, Vivendi-Universal , Fox Entertainment Group (Twentieth Century Fox) et Viacom (Paramount Pictures) ont été contactées par
la Commission qui souhaite obtenir des informations sur leur politique de fixation des prix des DVD.
Une enquête du même type avait été réalisée par la Commission australienne de la concurrence et de la consommation. Elle avait conclu à une «sévère restriction du choix » des consommateurs.
Quelle peut-être l'influence réelle de ces investigations sur la politique commerciale menée par l'industrie cinématographique et les majors du disque ?
La Commission européenne réalise une enquête sur les prix de vente des disques vidéo numériques (DVD digital versatile disc) pratiqués au sein des pays de l'Union.
Un constat : Les tarifs proposés aux consommateurs européens sont souvent bien plus élevés qu'aux Etats-Unis...
L'institution européenne rappelle qu'une enquête similaire avait été menée sur le prix des CD audio, et que celle-ci avait permis de mettre fin à des pratiques «anticoncurrentielles.»
En ce qui concerne les disques vidéo, les fabricants de lecteurs soutenus par l'industrie cinématographique ont développé «un système de codage régional des DVD.»
La question est de savoir si un consommateur qui achète un DVD aux Etats-Unis doit être empêché de lire ce disque vidéo sur un lecteur du vieux continent.
Pour Marion MONTI Commissaire européen à la concurrence les choses sont claires :
«Nous ne permettrons pas qu'un tel système soit utilisé comme un rideau de fumée pour permettre aux entreprises de maintenir artificiellement des prix élevés ou de gêner le choix des consommateurs sous prétexte d'une plus grande protection des droits de propriété intellectuelle.»
Sony (Columbia Pictures), Disney, AOL (Warner Bros), Metro-Goldwyn-Mayer, Vivendi-Universal , Fox Entertainment Group (Twentieth Century Fox) et Viacom (Paramount Pictures) ont été contactées par
la Commission qui souhaite obtenir des informations sur leur politique de fixation des prix des DVD.
Une enquête du même type avait été réalisée par la Commission australienne de la concurrence et de la consommation. Elle avait conclu à une «sévère restriction du choix » des consommateurs.
Quelle peut-être l'influence réelle de ces investigations sur la politique commerciale menée par l'industrie cinématographique et les majors du disque ?
