C'est aujourd'hui au tour de Sony de proposer une première mise à niveau de routine de ses ordinateurs portables. Destinée au grand public, la famille Vaio E adopte effectivement la plateforme Intel Calpella et la dernière génération de puce graphique dédiée ATI. Les nouveaux modèles sont déclinés en format 14 et 17 pouces et sont proposés dans une configuration standard qu'on peut agrémenter d'options.
Le Vaio E 14 pouces s'articule autour d'un écran à rétro-éclairage à LED affichant une confortable définition de 1600 x 900 pixels, et non du sempiternel WXGA. Il abrite donc de série un processeur Intel Core i3-330M, basé sur la toute récente puce Arrandale et cadencé à 2,13 GHz et une puce graphique dédiée ATI Mobility Radeon HD 5145 épaulée par 512 Mo de mémoire vidéo dédiée. On retrouve également 4 Go de mémoire vive DDR3 à 1 066 MHz, un disque dur de 500 Go et un graveur de DVD multi format.
Le Vaio E 17 pouces conserve le rétro-éclairage à LED mais bénéficie quant à lui d'une définition Full HD (1920 x 1080 pixels), qui s'accommode tout particulièrement du lecteur de Blu-ray livré en standard. Le processeur est cette fois un Core i5-430M cadencé de 2,26 à 2,53 GHz et la puce graphique une ATI Mobility Radeon HD 5650 à 1 Go de mémoire. Le stockage est confié à un unique disque dur de 500 Go mais il peut être porté à 1 To par l'ajout d'un second disque dur de même capacité. Un graveur de Blu-ray est par ailleurs proposé en option.
Ces ordinateurs partagent enfin leur connectique, comprenant notamment Wi-Fi N, Bluetooth, quatre ports USB 2.0 et sortie HDMI, et l'édition Familiale Premium 64 bits de Windows 7. Le premier accuse 2,35 kg sur la balance pour une épaisseur de 27,3 mm, contre 3,3 kg et 31,9 mm pour le second, avec leurs batteries qui leurs confèrent une autonomie non communiquée.
Les Sony Vaio E 14 et 17 pouces seront commercialisés respectivement fin avril et fin mars pour un prix public de 800 euros, hors options.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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