Commentaires : Au Royaume-Uni, le marché du jeu vidéo surpasse ceux de la musique et la vidéo réunis

L’industrie du jeu vidéo a vu sa valeur doubler depuis 2017, représentant à elle seule la moitié du marché britannique du divertissement.

Le principal facteur est quand même le fait qu’une partie de la population est exclu de la société : Puisqu’il n’y a plus de disquaire ou de vendeur de vidéo comment font les personnes d’un âge notable, les technologiquement non compatible ou ceux qui ne vivent pas en ville ?

Le mec qui vit dans la campagne du Gers sans internet ne pourra pas acheter le dernier booba.
(Il ne pourra pas non plus s’inscrire a pole emplois, payer ses impôts ou avoir accès a la cpam bref notre bonne société assassine des gens et s’étonne des manifestations)

C’est drôle ici au Québec c’est le contraire les pauvres vivent dans les grandes villes (Montréal et Québec ) et la majorité de la classe moyeu qui compte le 3/4 de la population du Québec vive en banlieue !
C’est pas pour rien que les taxe augmente par année de 4% en banlieue et de 1.7% dans la ville de Montréal.
Du fait aussi qu’en banlieue il y a plus en plus de jeune couple parce-que les propriété sont pas achetable dans les grands villes donc tout monde s’éloigne des centres et forme des nouvelles région qui consomme plus de gadget électronique et bien sur de jeux vidéo.

Grotesque.
Il n’y a jamais eu de disquaire dans la campagne du Gers, pas même pour le dernier Yvette Horner.

Par contre des jeux videos dont le budget de production dépasse la plupart des autres créations, ça c’est très récent et c’est le seul phénomène qui explique quasiment tout. Ca et le fait qu’en particulier dans le cinéma il ne sort que des bouses. Marvel ou les Tuches, un scénario, aujourd’hui, ça doit tenir sur le quart d’une feuille de PQ.

Quand au cinéma il y aura autre chose que de la merde, j’irai plus au cinéma et je jouerai moins.

alors je ne connais pas le Quebec … mais le fait qu’un certaine population vive dans les centre villes ne serais-ce pas plutôt une question de mode de vie plutôt qu’une question de revenu ?
Le bobo que ça ne dérange pas de prendre sa voiture pour aller chercher du pain ben il va avoir son petit pavillon en banlieue. Celui que ça dérange … aura tendance a privilégier la ville.