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Personne ne pouvait mieux que Claudie HAIGNERE, docteure ès-sciences, médecin, actuelle ministre déléguée à la recherche et aux nouvelles technologies, présider la cérémonie de remise du prix Irène Joliot-Curie 2003.
Ce prix récompense chaque année depuis 2001, "les actions entreprises pour favoriser la présence des filles dans les cursus techniques, et promouvoir la place des femmes dans le milieu scientifique", rappelle le ministère dans un communiqué publié mercredi sur son site Internet (www.recherche.gouv.fr).
Cette année trois catégories ont été créées afin de célébrer dignement l'événement à l'Institut Curie, Paris.
Dans la catégorie "incitation", à l'intelligence ?, Muriel THOMASSET, ingénieure de recherche en optique instrumentale au laboratoire pour l'utilisation du rayonnement électromagnétique (CNRS), a été récompensée pour ses actions menées auprès des collégiennes et lycéennes afin de leur faire connaître les métiers scientifiques.
L'Association française des femmes ingénieures a remporté les faveurs du jury dans la catégorie "soutien", et ce pour sa mission active de représentation auprès des instances nationales, européennes et internationales.
Enfin, dans la catégorie "reconnaissance", le prix a été attribué à Françoise HERITIER, professeure honoraire au Collège de France et à l'Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales, africaniste et anthropologue, "pour l'ensemble de son œuvre".
"De grandes perspectives s'offrent à nous pour les prochaines années ; des défis se présentent qu'il nous faudra relever : stimuler les vocations scientifiques, inscrire la science et les technologies au coeur de la société, favoriser le partage des savoirs et encourager l'excellence", a souligné Claudie HAIGNERE lundi dans son discours de clôture repris sur le site Internet de l'Institut Curie (www.curie.fr).
Avant de conclure : "Pour relever ces défis, nous aurons besoin de fédérer toutes les énergies, à commencer par celles des jeunes filles et des femmes. Le fait que de tels modèles et grands témoins leur soient ainsi proposés est, j'en suis sûre, de très bon augure !"
Ce prix récompense chaque année depuis 2001, "les actions entreprises pour favoriser la présence des filles dans les cursus techniques, et promouvoir la place des femmes dans le milieu scientifique", rappelle le ministère dans un communiqué publié mercredi sur son site Internet (www.recherche.gouv.fr).
Cette année trois catégories ont été créées afin de célébrer dignement l'événement à l'Institut Curie, Paris.
Dans la catégorie "incitation", à l'intelligence ?, Muriel THOMASSET, ingénieure de recherche en optique instrumentale au laboratoire pour l'utilisation du rayonnement électromagnétique (CNRS), a été récompensée pour ses actions menées auprès des collégiennes et lycéennes afin de leur faire connaître les métiers scientifiques.
L'Association française des femmes ingénieures a remporté les faveurs du jury dans la catégorie "soutien", et ce pour sa mission active de représentation auprès des instances nationales, européennes et internationales.
Enfin, dans la catégorie "reconnaissance", le prix a été attribué à Françoise HERITIER, professeure honoraire au Collège de France et à l'Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales, africaniste et anthropologue, "pour l'ensemble de son œuvre".
"De grandes perspectives s'offrent à nous pour les prochaines années ; des défis se présentent qu'il nous faudra relever : stimuler les vocations scientifiques, inscrire la science et les technologies au coeur de la société, favoriser le partage des savoirs et encourager l'excellence", a souligné Claudie HAIGNERE lundi dans son discours de clôture repris sur le site Internet de l'Institut Curie (www.curie.fr).
Avant de conclure : "Pour relever ces défis, nous aurons besoin de fédérer toutes les énergies, à commencer par celles des jeunes filles et des femmes. Le fait que de tels modèles et grands témoins leur soient ainsi proposés est, j'en suis sûre, de très bon augure !"
