Test DJI Mini 4 Pro : le meilleur drone léger

Marc Mitrani
Expert Smartphone
23 octobre 2023 à 17h34
6
Le DJ Mini 4 Pro © Marc Mitrani pour Clubic
Le DJ Mini 4 Pro © Marc Mitrani pour Clubic

Annoncé il y a quelques semaines, le Mini 4 Pro de DJI reprend l’essentiel du Mini 3 Pro tout en lui apportant quelques nouveautés intéressantes. Le sont-elles assez pour envisager d’adopter ce nouveau venu dans la famille des drones ? Réponse dans ce test !

DJI Mini 4 Pro
  • Qualité vidéo & photo
  • Stabilité en vol
  • Capteurs d'évitement 360°
  • Fonctions créatives vidéo
  • WayPoints
  • Bonne autonomie
  • DJI Goggles et Motion Controller incompatibles (pour l'instant ?)
  • Pas de bloc d'alimentation

Fiche technique DJI Mini 4 Pro

Résumé

Portée
18km
Hauteur de vol
500m
Autonomie
34mn
Enregistrement vidéo
4K, 2.7K, 1080p
HDR
Oui
Fréquence d'image
24/25/30/48/50/60/100 IPS
Retour d'image
Oui
Capacité du stockage interne
2Go
Système d’évitement d’obstacles
Oui

Caractéristiques techniques

Portée
18km
Hauteur de vol
500m
Autonomie
34mn
Temps de charge
70mn
Vitesse de vol
16m/s
Hauteur
101mm
Largeur
373mm
Longueur
298mm
Pliable
Oui
Hauteur (plié)
64mm
Largeur (plié)
94mm
Longueur (plié)
148mm

Photo Vidéo

Caméra embarquée
Oui
Prise d'images
Photo, Vidéo
Objectif
1/1.3-inch CMOS, 48 Mpx
Enregistrement vidéo
4K, 2.7K, 1080p
Plage ISO photo
100-6400
Plage ISO vidéo
100-6400
HDR
Oui
Fréquence d'image
24/25/30/48/50/60/100 IPS
Retour d'image
Oui

Stockage

Stockage interne
Oui
Capacité du stockage interne
2Go
Stockage externe
Carte MicroSD
Capacité maximale du stockage externe
512Go

Options de pilotage

Système d’évitement d’obstacles
Oui
Mode ATTI
Oui
Mode RTH
Oui
Mode GPS
Oui

Pourquoi 249 grammes ?

Le Mini 4 Pro conserve un poids de 249 grammes, l'une des caractéristiques essentielles de son grand frère. En pesant moins que 250 grammes batterie incluse, il n’est pas soumis à toutes les restrictions imposées par la DGAC (Direction Générale de l’Aviation Civile).

Il peut ainsi voler au-dessus de personnes (mais pas au-dessus d’un rassemblement), dans le périmètre d’une propriété privée (avec l’accord du propriétaire) et dans les zones ne faisant pas l’objet d’une restriction de vol. En revanche, il est formellement interdit de le faire voler dans l’espace public d’une agglomération ou de nuit.

Le Mini 4 Pro étant équipé d’une caméra, le pilote doit impérativement s’inscrire en tant qu’exploitant UAS (Unmanned Aerial System, soit « système volant sans pilote embarqué ») sur le site AlphaTango de la DGAC.

Il doit aussi faire figurer son numéro d’enregistrement DGAC sur l’appareil. Précisons qu’il n’est pas obligé de suivre la formation certifiante proposée sur AlphaTango, celle-ci n’étant obligatoire que pour les drones pesant au moins 250 grammes. Cela dit, nous vous conseillons fortement de prendre connaissance des règles qu’elle explique, tout drone volant en extérieur y étant soumis.

Ces directives ne sont valables que pour la France. Chaque pays ayant ses propres règles, on ne saurait trop vous recommander de les consulter avant de faire décoller l’engin si vous voyagez hors de l’Hexagone !

Design et ergonomie : le changement dans la continuité

Côté design, pas de gros changements à l’horizon. Le Mini 4 Pro est fait d’un plastique aussi léger que qualitatif. DJI a tout de même ajouté des pieds à l’avant afin d’augmenter la stabilité en décollage/atterrissage et a légèrement surélevé les capteurs avant. Le capot de protection des caméras a été repensé afin qu’il soit plus pratique à remettre en place.

Seulement 249 grammes sur la balance, le Mini 4 Pro est aussi léger que compact © Marc Mitrani pour Clubic
Seulement 249 grammes sur la balance, le Mini 4 Pro est aussi léger que compact © Marc Mitrani pour Clubic

On note aussi l’apparition d’une LED d’éclairage nocturne sur le ventre de l’appareil. Elle ne servira pas à grand-chose en France, où les vols nocturnes sont interdits. On pourra tout de même l’allumer afin de mieux indiquer sa position lors d’un vol diurne. Enfin, les LED de signalisation passent sur les bras arrières, histoire de les rendre plus visibles.

Le DJ Mini 4 Pro vu du dessus © Marc Mitrani pour Clubic
Le DJ Mini 4 Pro vu du dessus © Marc Mitrani pour Clubic

Notre modèle de test est accompagné de la radiocommande DJI RC 2. Équipée d’un bel écran lumineux, elle dispose de tout ce qu’il faut afin de piloter l’aéronef. On pourra aussi opter pour la radiocommande DJI RC N2, dépourvue d’écran, mais abaissant le prix d’achat à 799 euros. Elle nécessite la connexion d’un smartphone sur lequel on aura préalablement installé l’application DJI Fly.

La radiocommande DJI RC 2 © Marc Mitrani pour Clubic
La radiocommande DJI RC 2 © Marc Mitrani pour Clubic

La communication radio entre l’aéronef et la radiocommande s’effectue à l’aide du protocole OcuSync 4.0 (OS 4), déjà rencontré sur le DJI Air 3. Plus stable qu’OcuSync 3.0, OS 4 n’est pas compatible avec les radiocommandes conçues pour le Mini 3 Pro. À moins que DJI se fende d’une mise à jour, les casques FPV Goggles 2 et Integra ainsi que la radiocommande joystick Motion 2 ne seront pas utilisables.

Les molettes et gâchettes facilitent la navigation du drone © Marc Mitrani pour Clubic
Les molettes et gâchettes facilitent la navigation du drone © Marc Mitrani pour Clubic

C’est sûrement pour cela que le constructeur ne propose pas à la vente l’aéronef nu, comme il le fit au lancement de du Mini 3 Pro. DJI affirme qu’OS 4 est plus stable que la version précédente et dispose d’une portée maximale de 20 km en terrain dégagé.

Même si on salue la performance technique, il convient de rappeler que la législation européenne impose que le pilote puisse toujours avoir l’aéronef en vue directe d’un vol. Impossible donc de profiter complètement de cette capacité en France.

Décollage express

La batterie amovible se charge à l’aide d’un adaptateur secteur USB-C non fourni (il n’y a pas de petites économies). On pourra utiliser celui d’un smartphone ou d’une tablette. Notre unité de test était accompagnée du pack Fly More.

Le Mini 4 Pro dans sa version « Fly More » © DJI
Le Mini 4 Pro dans sa version « Fly More » © DJI

Il comprend un sac de transport compact et bien pensé, deux batteries supplémentaires ainsi qu’une station de charge (mais toujours pas de bloc d’alimentation). L’ensemble est accompagné de la radiocommande DJI RC 2, qu’il faudra bien entendu charger avant la première utilisation en passant par le port USB-C.

Mieux vaut prévoir un peu de temps  : passer de 0 à 100 % prendra près de 100 minutes pour la radiocommande et un peu plus de 4 heures pour les trois batteries. Ces valeurs varient en fonction de la puissance du bloc d’alimentation en votre possession. Dans notre cas, nous avions sous la main celui de l'Edge 40 Neo de Motorola.

Le port USB-C et le slot micro SD du Mini 4 Pro © Marc Mitrani pour Clubic
Le port USB-C et le slot micro SD du Mini 4 Pro © Marc Mitrani pour Clubic

L’aéronef et la radiocommande DJI RC 2 disposent chacun d’un emplacement pour carte micro SD. Pas de panique si vous n’en avez pas : le drone embarque aussi 2 Go de mémoire de stockage.

Ce n’est pas énorme, mais cela permet d’engranger quelques séquences vidéo. Même chose pour la radiocommande qui possède 32 Go de stockage intégré. Il autorise le transfert des clips et photos du drone vers une carte mémoire.

Mettre en service le drone et sa radiocommande se révèle très rapide puisqu’il s’écoule moins d’une minute entre l’allumage des deux appareils et le décollage effectif. On peut même grappiller quelques secondes supplémentaires si l’on n’attend pas que la synchronisation GPS soit effective !

La radiocommande DJI RC2 offre xactement les mêmes fonctions que l'app DJI Fly. À vous de choisir selon votre budget © Marc Mitrani pour Clubic
La radiocommande DJI RC2 offre xactement les mêmes fonctions que l'app DJI Fly. À vous de choisir selon votre budget © Marc Mitrani pour Clubic

La radiocommande se montre très agréable à utiliser, ses touches et joysticks étant réactifs et correctement positionnés. On apprécie la luminosité de son écran qui autorise un vol agréable même en plein soleil. Lors de nos tests, nous n’avons à aucun moment constaté de latence perceptible dans la transmission des commandes. Nous n’avons pas non plus eu à subir de perte de signal, aussi minime soit-elle.

En plus des joysticks assurant le déplacement, on dispose d’un ensemble de touches et de molettes afin de déclencher ou arrêter la prise de vue et d’orienter la nacelle supportant la caméra. Notons que les adeptes du format portrait (celui des stories) peuvent faire basculer instantanément la caméra afin de filmer dans cette orientation. Pourquoi pas.

Le Mini 4 Pro dispose de trois modes de fonctionnement : Normal, Ciné et Sport. Les deux premiers permettent d’atteindre une vitesse maximale théorique de 12 m/sec (43,2 km/h). Le mode Ciné met l’accent sur la fluidité des mouvements de caméra. Par exemple, un régulateur autorise un déplacement linéaire à vitesse constante afin de produire des travellings agréables.

Avec une vitesse théorique maximale de 16 m/sec (57,6 km/h), le mode Sport autorise un pilotage bien plus nerveux. Attention toutefois : les capteurs d’évitement sont désactivés afin de privilégier la réactivité de l’aéronef. Il est donc déconseillé aux pilotes débutants !

La détection d’obstacle intégrée surveille ce qui se passe à l’avant, à l’arrière, en dessous de l’aéronef, comme le faisait le Mini 3 Pro. Petit bonus non négligeable, la surveillance des côtés est désormais assurée. L’ensemble fonctionne bien, voire même très bien puisque nous n’avons pas réussi à crasher l’appareil malgré tous nos efforts.

Pour clore le chapitre du pilotage, un mot sur l’autonomie. À en croire DJI, une batterie chargée à 100 % assure jusqu’à 34 minutes de vol. Vu le poids et les dimensions du drone, cela relève de l’exploit. Dans la vraie vie, celle où il y a des rafales de vent, des virages brusques et où l’on filme pendant le vol, on atteint tout de même 25 minutes avant de recevoir une alerte.

Les avertissements « batterie faible » ne sont pas à prendre à la légère. Sinon, le drone se posera là où il pourra lorsque la jauge sera à 5 % © Marc Mitrani pour Clubic
Les avertissements « batterie faible » ne sont pas à prendre à la légère. Sinon, le drone se posera là où il pourra lorsque la jauge sera à 5 % © Marc Mitrani pour Clubic

Très rapidement, le retour automatique au point de décollage prend le contrôle du vol. On peut au besoin le désactiver afin de finir une prise de vue, par exemple.

Dans ce cas, on a tout de même intérêt à rentrer fissa avec les 10 % d’énergie restants. Faute de quoi, le drone atterrira automatiquement au bout de 28 minutes… en espérant que ce ne soit pas dans un endroit inaccessible.

Vidéo et photo : les experts vont aimer !

La caméra change un peu de forme, ce qui la rend incompatible avec les filtres et compléments optiques prévus pour le Mini 3 Pro. Pour le reste, ses caractéristiques techniques ne changent pas.

Le Mini 4 Pro embarque une caméra équipée d’un capteur 1/1,3" de 48 Mpxl et d’un objectif 24 mm ouvrant à f/1,7. La nacelle la supportant est stabilisée sur trois axes et dispose d’une amplitude très satisfaisante (inclinaison -135 à 80° ; roulis -135 à 45° ; panotage -30° à 30°).

Vidéo : les WayPoints changent la donne

DJI n’en étant pas à son coup d’essai, on est en droit d’attendre une stabilisation d’excellente qualité : c’est bien le cas. Que l’on vole en temps calme ou venteux, l’image reste impeccablement stable. Les modes de prise de vues sont accessibles depuis l’écran de la télécommande RC2 ou par celui du smartphone si l’on dispose de la radiocommande RC N2 (installation obligatoire de l’application DJI Fly).

 DJI intègre ses WayPoints au Mini 4 Pro © Marc Mitrani pour Clubic
DJI intègre ses WayPoints au Mini 4 Pro © Marc Mitrani pour Clubic

La captation vidéo monte jusqu’en 4K 60 im/s avec un débit binaire maximal de 150 Mb/s. De quoi réaliser des séquences fluides et dépourvues de saccades. Notons qu’un mode de captation 4K 100 im/s est disponible (200 im/s en Full HD) afin de créer de jolis ralentis.

Si l’on souhaite retravailler les rushes en postproduction sur un logiciel professionnel, on se calera plutôt sur les formats HLG 10-bit ou D-LOG 10-bit. Ils offrent plus de latitude en matière de correction colorimétrique et luminance, et l’on pourra faire de l’image ce que l’on veut grâce en appliquant des LUTs avec Première Pro ou Da Vinci Resolve, par exemple.

Le drone inaugure ActiveTrack 360, une nouvelle technologie de suivi couplée à une interface aussi efficace que simple à prendre en main. Elle est constituée de la traditionnelle « boîte de suivi » que l’on trace autour du sujet à filmer et d’une sorte de roue de commande affichée sur l’écran.

Son centre symbolise le sujet suivi et l’on indique la position du drone autour de lui en effleurant l’écran. L’appareil effectue alors le déplacement nécessaire afin de l’atteindre, tout en filmant.

On peut ainsi créer des mouvements de caméra complexes autour d’un objet en mouvement le plus simplement du monde. Mieux encore : on peut à tout moment faire bouger le drone autour de lui en traçant au doigt un arc de cercle.

L’aéronef le suivra tout en conservant le sujet au centre le la scène. Bien entendu, les mécanismes d’évitement d’obstacles restent actifs et modifient la trajectoire si besoin.

Les WayPoints permettent de créer un itinéraire invariable à l’aide de points de passage. Cela peut se faire lors d’un vol exploratoire ou en amont du vol. On les sélectionne alors sur la carte affichée par l’application.

Le trajet ainsi défini pourra être reparcouru automatiquement par le drone. On peut choisir d’activer la caméra sur tout ou partie de l’itinéraire. Cela permet par exemple de shooter des séquences du même endroit à des heures ou des saisons différentes.

En plus de ces nouveautés très intéressantes, on retrouve les habituels modes de captation chers à DJI (et à ses clients). Citons par exemple le mode hyperlapse (timelapse en mouvement) en pilotage manuel ou automatisé et les QuickShots (les fonctions Astéroïde et Boomerang sont nos préférées). Bon point aussi pour MasterShot qui crée des vidéos « clés en main » pouvant être partagées sur les réseaux sociaux.

Photo : de bien belles images comme on aimerait en voir plus souvent !

Les images fixes réalisées avec le Mini 4 Pro sont d’excellente qualité. On peut bien entendu se contenter des photos traditionnelles (en JPEG ou RAW) ou opter pour les prises de vues panoramiques. On a alors le choix entre les panoramas classiques (3x3 ou linéaire) et la vue 360°. Dans tous les cas, l’assemblage s’effectue automatiquement à bord de l’aéronef et les résultats sont de bonne tenue.

Le drone fournit des photos de belle qualité  © Marc Mitrani pour Clubic
Le drone fournit des photos de belle qualité © Marc Mitrani pour Clubic

En prise de vue traditionnelle, on remarque sans surprise un petit manque de piqué sur les bords de l’image. Le capteur 48 Mp, exploité en pixel binning (quatre photosites recueillant les informations constituant un pixel final) produit des images 12 Mp par défaut. On peut aussi shooter en 48 Mp natif, même si nous n’avons pas constaté de changement de qualité.

Focale nominale © Marc Mitrani pour Clubic
Focale nominale © Marc Mitrani pour Clubic
Zoom 2x © Marc Mitrani pour Clubic
Zoom 2x © Marc Mitrani pour Clubic

En vidéo comme en photo, le Mini 4 Pro est une très bonne caméra volante. On apprécie la qualité des images dans tous les cas de figure, même si elles sont un peu moins bonnes dès que l’on active le zoom numérique.

DJI Fly et LightCut : des applications surdouées pour le montage vidéo

L’application DJI Fly offre tout ce qu’il faut pour guider l’utilisateur dans la réalisation de prises de vues complexes. Une fois transférés sur smartphone, les clips peuvent être édités afin de créer une vidéo que l’on pourra rapidement partager sur les réseaux sociaux.

DJI Fly et LightCut offrent de nombreuses possibilité d'édition © Marc Mitrani pour Clubic
DJI Fly et LightCut offrent de nombreuses possibilité d'édition © Marc Mitrani pour Clubic

Mieux encore : afin de bénéficier d’un montage totalement automatique, DJI propose de télécharger gratuitement l’application LightCut. On y trouve de nombreux modèles prédéfinis, l’IA se chargeant de l’assemblage et de la piste audio. On pourra bien entendu modifier les titres, coller des tickets un peu partout et changer le modèle de montage automatique.

DJI Mini 4 Pro : l'avis de Clubic

9

Le Mini 4 Pro se révèle séduisant sur bien des aspects. Il reprend toutes les bonnes idées de son prédécesseur et y ajoute quelques nouveautés bienvenues. C’est par exemple le cas des WayPoints et d’ActiveTrack 360.

Ces deux ajouts significatifs, plus la prise en charge de formats vidéo pro, devraient intéresser les amateurs exigeants et — pourquoi pas — les vidéastes professionnels. On regrette en revanche l’incompatibilité avec le casque FPV Goggles 2 et le Motion Controller. Espérons qu’une mise à jour logicielle corrigera cela.

La bonne surprise vient aussi du prix : accompagné de la radiocommande RC N2, le Mini 4 Pro est vendu 799 euros, contre 829 euros pour son prédécesseur en configuration équivalente. Il passe à 999 euros avec la radiocommande RC2 (prix inchangé). Enfin, l’ajout du pack Fly More fait grimper l’addition à 1 129 euros (1 188 euros pour le Mini 3 Pro).

Les plus

  • Qualité vidéo & photo
  • Stabilité en vol
  • Capteurs d'évitement 360°
  • Fonctions créatives vidéo
  • WayPoints
  • Bonne autonomie

Les moins

  • DJI Goggles et Motion Controller incompatibles (pour l'instant ?)
  • Pas de bloc d'alimentation

Pilotage 9

Qualité de construction 9

Performances vidéo & photo 9

Sécurité 10

Rapport poids/dimension 10

Radiocommande & logiciel 9

Amazon 795,84€ Voir l'offre
E.Leclerc 791€ Voir l'offre
Fnac 799€ Voir l'offre
Boulanger 799€ Voir l'offre
Cdiscount 799€ Voir l'offre
Voir plus d'offres
Amazon 795,84€ Voir l'offre
E.Leclerc 791€ Voir l'offre
Fnac 799€ Voir l'offre
Boulanger 799€ Voir l'offre
Cdiscount 799€ Voir l'offre
Voir plus d'offres

Marc Mitrani

Expert Smartphone

Expert Smartphone

Journaliste, fondu de photographie, de technologie et de chocolat.

Lire d'autres articles

Journaliste, fondu de photographie, de technologie et de chocolat.

Lire d'autres articles
Cet article contient des liens d'affiliation, ce qui signifie qu'une commission peut être reversée à Clubic. Les prix mentionnés ainsi que les marchands mis en avant sont susceptibles d'évoluer afin de toujours vous proposer le meilleur prix sur le produit concerné. 
Lire la charte de confiance
Vous êtes un utilisateur de Google Actualités ou de WhatsApp ? Suivez-nous pour ne rien rater de l'actu tech !
google-news
Rejoignez la communauté Clubic S'inscrire

Rejoignez la communauté des passionnés de nouvelles technologies. Venez partager votre passion et débattre de l’actualité avec nos membres qui s’entraident et partagent leur expertise quotidiennement.

S'inscrire

Commentaires (6)

kroman
«&nbsp;Pas de bloc d’alimentation&nbsp;» devrait être dans les plus !<br /> La directive Européenne sur l’USB-C a été faite dans ce but…<br /> Il a l’air top !<br /> Pour la portée, c’est pour quel pays? Valeur max ? DJI ajuste la puissance de transmission en fonction des réglementations locales
Ccts
18km c’est hors Europe. Puissance d’émission réglementée ici. Ça doit donner du 2km réel maxi à vue avec quelques obstacles. C’est le gps intégré qui décide.
Marc.Mitrani
Bonjour,<br /> Ce n’est pas exactement ce que dit la Directive… Les constructeurs de smartphones, tablettes et de drones (DJI, au moins) en profitent pour augmenter leurs marges sur le dos des clients (vous avez vu un produit dont le prix baisse depuis qu’il n’a pas de bloc d’alimentation fourni ? Pas moi )<br /> Un bloc d’alimentation peut avoir des caractéristiques différentes qui peuvent ne pas convenir à tous les produits. Pour s’en convaincre, il suffit de lire attentivement les clauses de garanties des produits, qui stipulent la plupart du temps que l’utilisation d’une alimentation non certifiée par le constructeur annule la garantie en cas de problème. Et comme tout composant, il subit une usure au cours du temps tout en risquant de devenir moins fiable, voire dangereux.<br /> S’ils ne veulent plus le fournir, pourquoi pas. Mais au moins qu’ils mettent en place un système d’échange (un bon est fourni avec l’appareil, il suffit de le renvoyer pour obtenir un nouveau chargeur, éventuellement accompagné de l’ancien afin qu’il soit recyclé).
Marc.Mitrani
Bonjour,<br /> J’ai effectivement écrit une bêtise et je m’en excuse : je la corrige !<br /> La portée théorique maxi est de 20 km. Dans l’Union Européenne, les directives précisent que le pilote doit toujours conserver l’aéronef en vue directe. Cela limite donc la distance !
themancool87_1_1
" au bout de 28 minutes, il se pose en espérant que ce ne soit pas dans un endroit inaccessible"<br /> il n’y a pas le retour d’urgence au point de départ comme les autres?
Marc.Mitrani
Bonjour,<br /> Merci d’avoir lu mon test <br /> J’ai été trop rapide dans ma présentation de du RTH… Désolé ! Effectivement, il y a bien un retour automatique prévu, mais on peut le débrayer. Dans ce cas, il ne faut pas perdre de temps pour rentrer.<br /> J’aurais dû écrire :<br /> «&nbsp;Très rapidement, le retour automatique au point de décollage prend le contrôle du vol. On peut au besoin le désactiver afin de finir une prise de vue, par exemple.<br /> Dans ce cas, on a tout de même intérêt à rentrer fissa avec les 10 % d’énergie restants. Faute de quoi, le drone atterrira automatiquement au bout de 28 minutes… en espérant que ce ne soit pas dans un endroit inaccessible.&nbsp;»<br /> Je corrige cela tout de suite, merci pour votre vigilance !
themancool87_1_1
Au plaisir si ça a aidé
Voir tous les messages sur le forum
Haut de page

Les derniers tests

Drone : tous les derniers tests