L'opérateur britannique Three bénéficie de nouveau de la primeur d'un produit du fabricant chinois Huawei en annonçant le lancement d'un nouveau MiFi, le premier du marché adoptant la norme HSPA+, dont le débit en téléchargement culmine à 21,1 Mbps.
De quoi faire pâlir d'envie jusqu'aux abonnés ADSL les plus proches de leur NRA, mais aussi de quoi faire fondre comme neige au soleil le quota souvent limité de son offre mobile... Il conviendra donc de ne pas céder à l'appel du streaming en Full HD et de s'en tenir à une utilisation légère, avec laquelle le mobinaute bénéficiera malgré tout de temps de chargement réduits.
À condition bien sûr que le réseau de l'opérateur soit adapté, comme l'est depuis peu celui de Three. Aux dernières nouvelles, en France, et en particulier du côté d'Orange qui commercialise les points d'accès 3G Wi-Fi de Huawei sous la dénomination « Domino », les relais les plus généreux plafonnent à 14,4 Mbps. Certains relais de SFR fonctionneraient à 21,1 Mbps, mais il faut souscrire une option pour en bénéficier.
Le nouveau « Huawei E586 » succède quoi qu'il en soit à l'E585 et en reprend, exception faite de la connectivité HSPA+, la totalité de la fiche technique. On retrouve donc l'écran de contrôle OLED monochrome, permettant notamment de contrôler le quota de la session, et un emplacement microSD pour partager jusqu'à 32 Go de données avec les cinq dispositifs Wi-Fi qui peuvent s'y connecter simultanément. Cette limitation n'a pas été revue à la hausse en débit de l'augmentation potentielle du débit. Cet appareil sert pour rappel de passerelle entre le réseau 3G et un (ou plusieurs) dispositif(s) muni(s) de Wi-Fi mais dépourvu(s) de son/leur propre(s) modem(s).
Le nouveau modèle est en revanche désormais fourni avec une station de recharge, facilitant l'utilisation sédentaire à laquelle il se prête plus que jamais.
Le « Huawei E585 » sera donc commercialisé par l'opérateur Three à partir du mois de septembre, pour un prix encore non communiqué.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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