Plex : vos musiques et vidéos en streaming, partout

16 mai 2016 à 17h37
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Si le concept de musique et vidéo dématérialisées en streaming a de quoi séduire, encore faut-il que les services existants se montrent à la hauteur des attentes. Et comme on n'est jamais aussi bien servi que par soi-même, l'alternative peut consister à se créer son propre cloud audiovisuel ou plutôt à en reproduire le principe. Chose qu'accomplit parfaitement Plex, le service que nous avons décidé de vous présenter ici.

Les ténors du genre - Spotify, Deezer, Google Play Music ou encore Apple Music pour l'audio et Netflix ou Canal Play pour la vidéo - disposent de catalogues énormes mais qui ne couvrent pas tout pour autant. Certains artistes ou films sont présents sur une plateforme mais pas les autres, et inversement avec d'autres contenus. Par ailleurs, les abonnements intéressants, qui permettent d'accéder aux flux depuis un smartphone, coûtent 9,99 euros par mois (musique) et entre 7,99 et 9,99 euros par mois (films et séries).

C'est là que Plex intervient et montre tout son intérêt. De quoi s'agit-il ? A la base, Plex Media Server est... un media center, moins connu que Kodi mais du même acabit. Autrement dit, un logiciel qui catalogue et met en forme le contenu multimédia du PC ou du NAS sur lequel on l'installe, pour ensuite le diffuser à la façon d'un serveur.

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En version gratuite, Plex peut transmettre vos flux sur tous les écrans (PC, TV, smartphones, tablettes), les principales passerelles (Chromecast, Apple TV, Google TV, Roku, Amazon Fire TV, etc) et consoles connectées (Xbox et Playstation) à portée de réseau local mais également vers l'extérieur, par exemple sur un smartphone connecté en 3G/4G. Attention, l'application Plex mobile devra être débloquée pour faire sauter les limitations (flux streamés pendant une minute maximum, filigrane sur les images). Elle peut l'être par le biais d'un achat unique d'une « activation » à 5,20 euros.

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L'activation unique suffit à débloquer le streaming sur mobile, hors du réseau local

Maintenant, c'est par le biais d'un abonnement premium que tout le potentiel de Plex se révèle. Pour 4,99 euros par mois (ou 39,99 euros par an et encore 149,99 euros à vie), le Plex Pass premium débloque un bel assortiment de fonctionnalités, dont la capacité de streamer sur mobile (vous n'avez donc pas à payer l'achat unique) sans limitation, de rendre le contenu de son choix accessible hors connexion et de se synchroniser avec des cloud comme Google Drive ou Dropbox. La bibliothèque musicale profite par ailleurs d'une présentation enrichie digne des meilleures plateformes de musique en ligne. De quoi se faire un vrai petit mélange de Spotify et Netflix avec son propre contenu ! Entrons sans plus tarder dans le vif du sujet.



Installation et découverte

Une des forces de Plex, c'est sa simplicité de mise oeuvre. Il y a deux facettes à gérer : l'aspect service, qui passe par la création d'un compte Plex et la souscription à un Plex Pass. Puis il reste la partie locale, installer Plex Media Server sur la machine de son choix, comme n'importe quel autre logiciel, et déterminer des bibliothèques, de pistes audio, de films, de photos, de séries, de vidéos personnelles, en indiquant les dossiers à cataloguer. Techniquement, on peut s'en tenir à ça.

Quelques détails triviaux mais importants à préciser : le PC qui va faire office de serveur devra rester allumé en permanence (ou du moins quand vous avez besoin du service). C'est pourquoi ceux qui deviendraient accros à Plex auront intérêt à utiliser ou acquérir un NAS (Plex a établi une longue liste des modèles compatibles).

Problème : pour transcoder les vidéos à la volée, en HD voire Full HD, il faut un peu de ressources, dont un NAS d'entrée de gamme manquera. Ensuite, c'est votre connexion à Internet domestique qui va faire transiter les flux : un débit correct et stable sera nécessaire pour éviter les engorgements. Encore que, si c'est essentiellement l'audio qui vous intéresse, le problème ne se posera plus vraiment. L'avantage, c'est que vous streamez vos propres données, et qu'elles ne sont pas hébergées chez un prestataire tiers mais restent chez vous.

Les différentes étapes pour mettre en route son cloud Plex, de l'inscription à la création des bibliothèques..
Les différentes étapes pour mettre en route son cloud Plex, de l'inscription à la création des bibliothèques..
Les différentes étapes pour mettre en route son cloud Plex, de l'inscription à la création des bibliothèques..
Les différentes étapes pour mettre en route son cloud Plex, de l'inscription à la création des bibliothèques..
Les différentes étapes pour mettre en route son cloud Plex, de l'inscription à la création des bibliothèques..
Les différentes étapes pour mettre en route son cloud Plex, de l'inscription à la création des bibliothèques..
Les différentes étapes pour mettre en route son cloud Plex, de l'inscription à la création des bibliothèques..
Les différentes étapes pour mettre en route son cloud Plex, de l'inscription à la création des bibliothèques..
Les différentes étapes pour mettre en route son cloud Plex, de l'inscription à la création des bibliothèques..
Les différentes étapes pour mettre en route son cloud Plex, de l'inscription à la création des bibliothèques..
Les différentes étapes pour mettre en route son cloud Plex, de l'inscription à la création des bibliothèques..


Si l'installation du logiciel et la création de bibliothèques constituent l'essentiel des efforts à fournir, Plex offre, pour ceux qui le souhaitent, un ensemble assez vaste de réglages. Réglages qu'il est possible d'afficher en mode simple ou avancé, histoire de plaire à tout le monde. On trouve là des choses basiques, comme le choix de la langue, de la qualité de streaming, ou du mode de mise à jour de la bibliothèque. Mais aussi des réglages beaucoup plus pointus, touchant au réseau, à la sécurité des connexions, au paramètres du transcodeur ou du client DLNA. Si vous prenez peur, cliquez sur « Masquer avancé », optez pour la valeur « automatique », et vous verrez, vous vous sentirez tout de suite mieux. .

Réglages proposés par Plex. Notez la différence entre le mode simple et celui avancé sur certaines entrées.
Réglages proposés par Plex. Notez la différence entre le mode simple et celui avancé sur certaines entrées.
Réglages proposés par Plex. Notez la différence entre le mode simple et celui avancé sur certaines entrées.
Réglages proposés par Plex. Notez la différence entre le mode simple et celui avancé sur certaines entrées.
Réglages proposés par Plex. Notez la différence entre le mode simple et celui avancé sur certaines entrées.
Réglages proposés par Plex. Notez la différence entre le mode simple et celui avancé sur certaines entrées.
Réglages proposés par Plex. Notez la différence entre le mode simple et celui avancé sur certaines entrées.
Réglages proposés par Plex. Notez la différence entre le mode simple et celui avancé sur certaines entrées.
Réglages proposés par Plex. Notez la différence entre le mode simple et celui avancé sur certaines entrées.


Le volet des réglages comprend également une dimension « utilisateurs ». Plex permet d'ajouter des utilisateurs au sein du foyer (en local), soit des personnes disposant déjà d'un compte Plex (ça permet une bascule plus rapide d'un compte à l'autre), soit un utilisateur géré, créé de toutes pièces mais sans compte Plex. Il est également possible d'attribuer à un ami un accès distant à ses données (il devra disposer d'un compte Plex). Dans tous les cas, l'utilisateur aux manettes décide du contenu visible (ou pas), et applique des restrictions (ou pas) : autoriser la synchronisation, l'upload de photos, les évaluations, etc. On peut par ailleurs verrouiller son propre compte à l'aide d'un code PIN.

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Le dernier onglet permet de voir quels appareils ont accès à votre Plex Media Server. Enfin, non loin du menu des réglages se trouve le pictogramme « Etat ». La zone « alertes » tient un calendrier de tous les faits et gestes (un log comme on dit dans le jargon), du logiciel comme de l'utilisateur. Ce dernier a également un droit de regard sur l'état de la synchronisation, avec un distinguo des sources (ordinateurs ou NAS où sont installés Plex Media Server) et des appareils mobiles (smartphones, tablettes et cloud).

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Car oui, il est possible d'activer l'option Cloud Sync qui va utiliser votre cloud (Google Drive, Amazon, Dropbox ou Box) comme hébergement de données toujours actif (sauf avarie ponctuelle mais avec ces sociétés monumentales, c'est tout de même assez rare).

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Cette zone état affiche par ailleurs le statut des conversions (utilisées avant les synchronisations) et les lectures de média en cours. Les fichiers convertis, dits optimisés, sont conservés sur le serveur, afin de faciliter les synchronisations ultérieures. Et en cas de souci de bande passante, il est possible de lire les versions optimisées plutôt que les originales. Certes Plex sait transcoder les flux à la volée au besoin, mais cette opération se montre exigeante en ressources processeur. Tout cela est plutôt complet et simple à la fois.

Ergonomie et efficacité à l'usage

L'autre grande force de Plex, c'est la qualité de son interface. Au centre de l'écran, le dashboard ou tableau de bord, qui va vous informer des lectures en cours, des derniers fichiers importés, etc. Dans le bandeau latéral sont rassemblés les différentes bibliothèques, vos éventuelles playlists, un petit raccourci vers les réglages et l'état (détaillés en page précédente), ainsi qu'une entrée Online content.

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Plex va en effet puiser dans le contenu gratuit de plusieurs plateformes en ligne, comme Vimeo, Dailymotion, Soundcloud, Pandora, MTV Music Videos, Lens, National Geographic ou encore CNN, pour constituer des chaînes auxquelles on peut adhérer, mais également pour pousser du contenu contextualisé de manière intelligente. Ce, sur les trois grands domaines de médias, musique, photo et vidéo.

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On appréciera alors de se voir proposer, sous les albums ou films, des vidéos de concerts, des bandes annonces ou des bonus par exemple.

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Des clips de ses artistes préférés ? C'est top !


Par ailleurs, Plex se révèle très doué pour présenter votre propre contenu : il récupère les pochettes de CD ou affiches de films et si vraiment il n'en trouve pas, il utilise une capture du média. Très chouette ! Avec un Plex Pass, les bibliothèques musicales sont enrichies de biographies, de critiques musicales, de visuels supplémentaires : on n'est pas bien loin de ce qu'accomplissent les grandes plateformes de musique en ligne.

Plex fait également de la suggestion d'artistes similaires (sur la base de votre propre musique par contre) et propose un astucieux découpage de la navigation musicale entre parcourir (mode classique de vignette ou liste par artistes) et découvrir. Dans ce dernier mode, les musiques sont organisées en « Vu récemment », « Récemment ajouté », « Plus sur l'artiste écouté », « Plus sur le style écouté », « les plus jouées sur le mois en cours ».

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Passé ce soin très particulier apporté à la présentation et à la contextualisation, l'ergonomie revient sur des bases classiques, néanmoins tout à fait bonnes : filtres de recherche, lecture aléatoire et / ou en boucle, ajout à une liste, synchronisation sur le mobile (on choisit alors le nombre de pistes et le débit d'encodage), notation, sauts rapides (10 secondes avant ou 30 après) et possibilité de caster sur un appareil compatible Google Cast. Rien à déplorer, sinon simplement que Plex aurait pu ajouter la lecture musicale en cours au dashboard, comme il le fait avec les vidéos.

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Plex est capable de tout lire avec plus ou moins d'efforts : soit c'est un format classique pris en charge nativement par le périphérique de lecture (bons conteneur, débit, codec et résolution) et la transmission se fera en Direct Play (aucune modification sur la source). Soit c'est un format partiellement compatible (bon codec mais mauvais conteneur par exemple) et Plex fera alors du « Direct Stream » (manipulations limitées à un ré-encapsulage, exigeant peu de ressource CPU). Soit c'est un format plus « exotique » ou non pris en charge par le périphérique de lecture et le flux passera alors par le transcodeur (plus exigeant en ressources CPU).

Tout cela se gère automatiquement ! Et dans la crainte d'avoir un PC ou NAS pas assez puissant pour transcoder à la volée, il est possible de décider manuellement de créer des copies optimisées de vos oeuvres pour l'appareil de lecture, qui pourront alors passer en Direct Play.

A l'usage sur smartphone

Sur smartphone, l'interface est tout aussi léchée, avec une gestuelle parfaitement adaptée. On choisit ses « Emplacements », c'est-à-dire les serveurs dont le smartphone fait également partie, puis le bandeau rétractile à gauche permet la navigation entre les univers.

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La partie mobile profite de quelques raffinements de rigueur, comme des options de synchronisation (pour lire ses contenus hors connexion), des réglages vidéo adaptés (qualité sur réseau mobile, boost audio, choix du player, etc.) et bien sûr, la sauvegarde des photos du smartphone vers un serveur (Wi-Fi ou réseau mobile, téléphone en charge ou pas, création d'album, etc). Le mobile peut également servir de télécommande pour piloter une application Plex Media Server installée sur un téléviseur connecté, un PC, une console de jeu ou une passerelle multimédia.

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Quid de l'expérience utilisateur au quotidien ? Côté musique - l'usage qui nous intéresse plus particulièrement dans le cadre de ce dossier -, il n'y a rien à redire sur la qualité d'écoute puisque les flux sont lus en qualité d'origine. Les FLAC n'ont pas non plus besoin d'être convertis, puisqu'ils sont nativement lus par notre OnePlus 2 de test.

Non, le seul souci, c'est qu'en itinérance, on est dépendant de la qualité du réseau (3G, 4G, etc.) et de l'état de sa ligne ADSL ou fibre. Autant en local (et Wi-Fi), la navigation au sein de la bibliothèque et les enchaînements d'une piste à une autre sont fluides, autant en extérieur, ça peut patiner copieusement. Même un service comme Napster fait figure d'excité à côté. Concrètement, en cours d'écoute d'un album dans le tramway, en 4G (signal à la moitié), la transition entre deux pistes a déjà pris pas loin de 10 secondes. Ce n'est pas la mer à boire, mais quand on est habitué à la redoutable instantanéité de Spotify, on devient moins patient.

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Les chargements sont plus ou moins longs selon la qualité de la couverture réseau et l'état de la ligne Internet à la source

Par ailleurs, s'il est bien évidemment nécessaire de laisser son PC allumé pour que le serveur soit, il faut aussi s'assurer qu'il n'entre pas en veille. Malgré la prise en charge par Plex Media Server du mode absent de Windows (sur Vista et plus), le PC peut tout de même basculer en veille, faisant alors tomber le serveur. Sur un PC, il faut donc bien doser le mode veille et surtout s'assurer que la fonction Wake on lan est activée, au sein du PC (parfois via le Bios) mais aussi permise par la Box ou le routeur (ce n'est pas toujours le cas).

Bon point en revanche : il est possible de lire du contenu depuis le même serveur sur plusieurs appareils simultanément (par exemple un navigateur Web d'un PC et un smartphone). Et il y a également toute la dimension de partage du contenu qui en intéressera plus d'un, de photo, musique comme vidéo. Il suffit d'ajouter un ami dans la gestion des utilisateurs et de choisir ce qu'on partage avec lui ou pas.

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Conclusion

En matière de serveur multimédia personnel, avec données hébergées à domicile et solution de streaming sur application mobile, Plex incarne à notre connaissance la solution la plus réussie qui soit. Et pourtant, la concurrence ne manque pas. Mais d'un côté, on a un géant comme Kodi qui ne permet pas d'accès extérieur en streaming via une application dédiée (ou pas simplement). Et de l'autre, on a des services comme Serviio, Subsonic ou Ampache, gratuits ou peu coûteux, mais beaucoup plus difficiles à mettre en place que Plex et peut-être moins homogènes. Le rival le plus proche - en théorie - qu'il nous faudra tester une prochaine fois, c'est Emby.

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Plex est à notre sens ce qu'il se fait de mieux parce qu'il parvient à jouer avec brio sur tous les tableaux en même temps : simplicité d'installation et de paramétrage, fiabilité et efficacité dans le streaming, esthétique et richesse de l'interface, compatibilité de nombreux types de dispositifs (smartphones, tablettes, PC, TV, consoles, passerelles multimédia), gestion des utilisateurs et partage, et bien sûr streaming vers l'extérieur sur l'application mobile Plex. Alors certes, se faire son service de diffusion multimédia personnelle de la sorte exige une bonne connexion Internet domestique, un accès 3G / 4G mobile stable, un PC ou NAS qui tourne en permanence... et un Plex Pass premium facturé 4,99 euros par mois (ou 39,99 euros par an et encore 149,99 euros à vie). Du moins pour profiter de l'ensemble des fonctionnalités offertes par Plex (synchronisation cloud et hors ligne, upload de photos, bibliothèque musicale enrichie, etc), le seul streaming peut être débloqué par une simple activation facturée 4,99 euros en achat unique. Et on a beau remplir tous ces critères, l'expérience reste bien en deçà d'un Spotify en matière de fluidité.

Malgré tout, pour qui veut se faire son petit Deezer à lui avec ses morceaux qui n'existent nulle part ailleurs, et son petit Netflix avec les films et vidéos de son choix, Plex s'impose comme la solution la plus agréable, complète et simple à nos yeux. Autrement dit, elle vaut les 40 euros annuels demandés. Maintenant pour du streaming musical seul et si vous ne craignez pas d'héberger vos données ailleurs, le cloud gratuit de Google Play Musique (upload de la bibliothèque via Music Manager) reste imbattable.


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