L'industrie américaine du porno compte organiser une manifestation pour protester compte la mise en place des noms de domaine en .xxx par l'ICANN. La Free Speech Coalition (FSC), un regroupement de professionnels de l'industrie, devrait ainsi s'exprimer le 17 mars prochain à San Francisco.
L'office d'enregistrement des noms de domaines au Royaume-Uni vient d'interpeller les autorités au sujet des motifs de fermeture d'un site. Nominet demande notamment des pouvoirs accrus afin d'accélérer toute procédure.
Online, la filiale d'Iliad spécialisée dans l'hébergement, annonce la mise à jour de ses offres Dedibox. Au programme, des offres de serveurs dédiés présentées comme « les moins chères du monde », qui présentent l'intérêt d'être accessibles sans engagement, et sans frais d'installation.
Dans sa lutte contre le piratage sur Internet, la RIAA, l'association défendant les intérêts des maisons de disque aux Etats-Unis, entend sécuriser sa position dans le commerce des extensions de nom de domaine .
En dehors de l'Icann, point de salut pour l'Internet ? Une expérience française semble vouloir contredire cette généralité, avec un nouveau TLD (nom de domaine de premier niveau... soit les .com, .net et autres .fr). Baptisé .42, il pose plusieurs problèmes techniques et intellectuels, et enflamme le web technophile.
Il faudra attendre le début de l'année prochaine avant de voir l'Icann prendre une décision sur les noms de domaines terminant par le triple X. L'organisme gestionnaire des extensions a reporté sa décision au sujet du .xxx pour les sites à contenu pornographique. Le branle-bas de combat continue.
Mise à jour : OVH a rendu publiques mercredi après-midi les décisions émises par les tribunaux de grande instance de Paris et de Lille, qui confirment le refus de prononcer une éventuelle interdiction d'hébergement sans procédure contradictoire.
Récemment revenu à la tête du ministère de l'Industrie, de l'Energie et de l'Economie numérique, Eric Besson a selon l'AFP demandé vendredi au Conseil général de l'industrie, de l'énergie et des technologies d'étudier la possibilité de mettre un terme à l'hébergement de certains pans du très controversé Wikileaks en France. Depuis qu'Amazon US l'a évincé de ses serveurs, le site mené par Julian Assange a en effet trouvé refuge en Suède, mais certaines des données qu'il contient sont hébergées dans l'Hexagone, par l'intermédiaire de la société OVH.
L'ancien de The Pirate Bay a tenu un chat avec d'autres spécialistes du web autour d'un nouveau projet. Baptisé P2P DNS, il vise à passer outre les contrôles de ceux qui gèrent les noms de domaines de manière centralisée comme l'Icann. Une manière de redonner la clé du Net aux internautes ?
L'AFNIC, l'association française chargée du nommage de la zone .fr, a publié ce matin son observatoire du marché des noms de domaines en France et dans le monde. Alors que la crise financière s'estompe peu à peu, le marché reprend doucement son souffle avec une croissance globale des ventes de l'ordre de 10%. Derrière le .com, qui regroupe aujourd'hui 85 millions de domaines, nous retrouvons le .de (Allemagne), le .net et le .uk (Angleterre). Reste que l'extension .fr est celle qui croît le plus vite avec une progression de 21% sur un an.
crédits : metroactive.com En mai 1994, Gary Kremen, fondateur du service de rencontres Match.com, déposa pour la première fois le nom de domaine sex.com. Un an plus tard, le bureau d'enregistrement Network Solutions fut sollicité par un certain Stephen Cohen qui parvint à falsifier plusieurs documents afin de récupérer le nom de domaine. Après une saga juridique de cinq ans, la cour trancha finalement en faveur de Gary Kremen.
GoDaddy, le premier bureau d'enregistrement de noms de domaine au monde, est à vendre, c'est ce que rapporte le Wall Street Journal. La société, fondée en 1997, a engagé le cabinet Qatalyst Partners afin de gérer cette mise sur le marché et souhaiterait obtenir 1 milliard de dollars.
Le Public Interest Registry (l'organisme chargé de gérer le top-level domain .org) a dévoilé hier soir les résultats de son rapport bi-annuel sur les noms de domaine en .org, le troisième au monde après les .com et .net. Le "Dashboard", comme est baptisé le rapport, nous apprend qu'à l'occasion de ses 25 ans, le .org atteint les 8,5 millions de domaines, et continue sa hausse.
Ouverte fin avril aux entreprises préenregistrées, puis à tous fin juin sur le mode du landrush (tarifs d'enregistrement élevés pour éviter le cybersquatting), l'extension de nom de domaine .CO est depuis aujourd'hui totalement accessibles aux prix standards pratiqués par les registars.
Après avoir rejeté l'idée plusieurs fois, l'Icann (Internet corporation for assigned names and numbers, une autorité de régulation d'Internet) vient de donner son accord pour l'utilisation de noms de domaine en .xxx, lors de son conseil d'administration de ce matin.
Dans un communiqué officiel, la société Verisign, spécialisée dans les infrastructures de réseaux et notamment pour la gestion des domaines .com et .net, annonce une croissance de 6% sur un an des enregistrements des noms de domaines de premier niveau (TLD). Ces douze derniers mois ce serait en effet 11 millions de nouveaux dépôts qui auraient été enregistrés pour franchir la barre des 193 millions.
OVH n'a pas tardé à répondre à l'offensive d'Online (filiale d'Iliad, maison mère de Free), qui lançait ce matin son offre Dedibox V3 à environ 15 euros par mois. Le « numéro un de l'hébergement en France » autoproclamé a effectivement réajusté la série KS de son offre « Kimsufi » pour s'aligner sur son rival.
Iliad frappe à nouveau dans le domaine du serveur dédié en lançant une nouvelle offre « Dedibox » à seulement 15 euros par mois. La maison mère de Free avait déjà bousculé une première fois ce domaine, en lançant une première offre à 30 euros par mois en 2006, abandonnée depuis.
Go Daddy, le plus grand bureau d'enregistrement de noms de domaine du monde, a annoncé qu'il cesserait de vendre des .cn. Après Google, c'est un deuxième géant américain qui quitte le marché chinois, même si Go Daddy refuse tout lien entre les deux décisions. Christine Jones, la directrice juridique de l'entreprise, affirme que Go Daddy ne veut pas se conduire « comme un agent du gouvernement chinois ».
Canon vient d'annoncer qu'il avait lancé le processus d'acquisition d'un top-level domain (TLD) en .canon, basé sur le nouveau gTLD (g pour générique). L'agence de régulation ICANN (Internet corporation for assigned names and numbers), en charge de la gestion du système d'adressage de l'Internet, a approuvé en juin 2008 le relâchement des règles d'attribution de ces gTLD. Reste qu'elles sont suffisamment précises pour que des critères tels que le but d'utilisation, la pertinence dans l'image de l'entreprise, et l'utilisation faite par l'entreprise soient pris en compte.
Il y a tout juste 25 ans, le 15 mars 1985, le premier nom de domaine fut enregistré : symbolics.com. Basée dans l'état du Massachusetts, la société commercialisait des ordinateurs spécialement conçus pour faire tourner le langage de programmation Lisp. Symbolics se présente ainsi comme le premier fabricant de machines professionnelles sur lesquelles tournait le système d'exploitation Genera. Le nom de domaine fut ensuite revendu l'été dernier à la firme d'investissements XF.com. Le site d'origine de Symbolics peut être consulté sur symbolics-dks.com.
L'Icann (Internet corporation for assigned names and numbers, une autorité de régulation de l'Internet) vient de repousser la décision d'autoriser la vente des noms de domaine en .xxx, et demande à son directeur général de faire un rapport sur les options possibles.
Selon un récent rapport publié par la société américaine Verisign, au dernier trimestre de l'année dernière, chaque mois, en moyenne 3,7 millions de nouveaux noms de domaines ont été déposés pour un total de 11 millions - toutes extensions confondues - sur cette période. Cela représenterait une hausse de 8% par rapport au trimestre précédent.
25 ans après le dépôt du premier nom de domaine sur Internet - Symbolics.com (enregistré le 15 mars 1985) -, et sa récente revente, le second marché des noms de domaine devient de plus en plus populaire.
Au mois de décembre, nous apprenions que Google avait lancé son propre service de résolution de domaines. Baptisé Google Public DNS ce dernier nous promet un Internet plus rapide, plus sûr et respectant les principes de neutralité du net. Rappelons que le serveur DNS se charge de traduire un nom de domaine (ex : google.com) et l'adresse IP du serveur sur laquelle ce site Internet est hébergé.
Vive l'internet multilingue ! Plus de trois ans après l'ouverture du nom de domaine européen à tous les publics, entreprises et particuliers, celui-ci peut enfin être associé à chacune des 23 langues officielles de l'Union, souligne l'exécutif européen dans un communiqué daté du 10 décembre.
Les membres de l'ICANN, l'organisation chargée de réguler les extensions des noms de domaine, ont récemment publié un rapport dans lequel sont listés différents arguments visant à interdire les redirections DNS. Cette pratique consiste pour le fournisseur d'accès à Internet, à mettre en place ce qu'on appelle des résolveurs DNS menteurs. Lorsque l'internaute se rend par erreur sur un site Internet qui n'existe pas, il reçoit normalement un erreur de type NXDOMAIN (No Such Domain) avec un message retourné par le navigateur. En revanche si le fournisseur d'accès à Internet a mis en place des DNS menteurs, chaque requête se résolvant par une erreur NXDOMAIN retourne vers une page unique mise en place par le FAI.
Moins de six mois après la sortie de la première version stable du bureau open source en ligne, l'éditeur français Ulteo lance la version 2.0 d'Open Virtual Desktop (OVD). Projet initié par Gaël Duval, créateur de la distribution Linux Mandrake devenue Mandriva, Ulteo OVD permet à une entreprise de fournir à ses collaborateurs des applications Linux ou Windows existantes en interne depuis un navigateur web.
Le spécialiste de l'infogérance Ecritel annonce l'ouverture à Montréal (Canada) d'un nouveau site d'hébergement. Ce dernier vient compléter les sites du groupe à Paris et Shanghai. Il doit lui permettre de couvrir trois fuseaux horaires.