Asus VivoPC : le nettop en aluminium finalisé et lancé en France

14 octobre 2013 à 12h58
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Asus a annoncé le lancement en France du VivoPC, l'ordinateur miniature qu'il a exposé au mois de juin au Computex. On en découvre ainsi la fiche technique complète et définitive.

L'Asus VivoPC est à la fois une alternative économique au Mac Mini d'Apple, il est pour ce faire moins performant, et plus simple du NUC d'Intel, puisqu'il est livré prêt à l'emploi (Windows et tous les composants sont inclus).

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Asus a semble-t-il revu ses ambitions à la baisse, depuis le Computex. Pour commencer l'innovante Vivo Mouse, à la fois souris et télécommande à pavé tactile (touchpad), n'est finalement pas commercialisée. L'ordinateur repose en outre sur une plateforme de précédente génération, et non sur Haswell.

Plus précisément, il abrite un processeur Celeron 1007U (double cœur à 1,5 GHz destiné à un Ultrabook), 2 Go de mémoire vive DDR3 et un disque dur de 500 Go à 7200 tr/min au format 3,5 pouces. Ces deux derniers sont facilement accessibles, en retirant le capot. La connectique est riche puisqu'on dispose (entre autres) de deux ports USB 3.0, d'un lecteur de carte SD, d'une sortie HDMI et d'une sortie SPDIF optique, d'un port Gigabit Ethernet, du Wi-Fi 802.11ac et du Bluetooth 4.0.

On retrouve enfin le boîtier en aluminium usiné de 19 cm de côté et de 5,6 cm d'épaisseur, abritant deux haut-parleurs d'appoint de 2 W chacun. Il peut servir d'ordinateur de bureau ou bien d'ordinateur de salon : à défaut de télécommande, il offre une fonction Wi-Fi GO! permettant de le télécommander à l'aide d'un smartphone ou d'une tablette.

Livré avec Windows 8, l'Asus VivoPC sera selon Minimachines.net lancé au mois de novembre en France au prix public de 300 euros.

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Romain Heuillard

C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...

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C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique. Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit. Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.

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