MSI embrasse aujourd'hui l'architecture Sandy Bridge en adoptant la plateforme Huron River sur ses portables de milieu de gamme de la série F. Le fabricant a effectivement annoncé quatre nouveaux modèles. Les « MSI FR620, FX620, FR720 et FX720 » partagent une base commune, qu'ils déclinent sur certains aspects.
Ils reposent donc pour commencer sur un processeur Intel Core i5 de seconde génération non précisé, épaulé par une quantité elle non plus non communiquée de mémoire vive DDR3. Le stockage est quant à lui confié à un disque dur de 250, 320 ou 500 Go, à un lecteur de Blu-ray ou à un graveur de DVD ainsi qu'à un lecteur de carte mémoire.
Au rayon de la connectique et des accessoires, on retrouve deux ports USB 3.0 en plus d'un ou deux USB 2.0, une sortie HDMI en plus d'une VGA, du Wi-Fi N, du Bluetooth 2.1, de l'Ethernet Gigabit, quatre haut-parleurs estampillés THX TruStudio Pro et une webcam qui présente la particularité d'être HD 720p.
2 puces graphiques x 2 diagonales = 4 combinaisons
Les « FR » s'en tiennent à la puce graphique Intel GMA HD 2000, alors que les « FX » abritent en plus une puce graphique dédiée NVIDIA GeForce GT 520M, qui se distingue principalement par 1 Go de mémoire vidéo dédiée.
Les « 620 » s'articulent enfin autour d'un écran d'une diagonale de 15,6 pouces (39,6 cm), pour une définiton WXGA de 1366 x 768 pixels, tandis que les « 720 » bénéficient d'une diagonale de 17,3 pouces (43,9 cm), pour une définition dite HD+ de 1600 x 900 pixels.
En dehors d'un port USB 2.0 supplémentaire pour le 17 pouces, le reste de la fiche technique est identique.
Le prix et la date de commercialisation des MSI FR620, FX620, FR720 et FX720 n'a malheureusement pas été communiqué. Mais on devine que ces ordinateurs bénéficieront d'un tarif agressif, quitte à faire l'impasse sur l'esthétique.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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