C'est aujourd'hui au tour de Ricoh (ex Pentax) de se lancer sur le marché de la caméra miniature. Il lance la WG-M1, qui hérite des codes esthétiques des appareils photo tout-terrain existants du fabricant.
89,5 x 66,5 x 42,5 mm pour 190 g
La Ricoh WG-M1 est probablement l'une des plus grosses caméras du segment, mais elle a plus d'une corde à son arc. Elle est pour commencer étanche et résistante aux chutes sans caisson, respectivement jusqu'à 10 m de profondeur pendant 1 h (IPX8 et JIS Class 8) et jusqu'à 2 m (JIS Class 6). Quatre proéminences protègent d'ailleurs la lentille. Elle est enfin résistante aux basses températures jusqu'à -10°C.
Elle intègre par ailleurs son propre écran LCD, de 1,5 pouces, qui permet de cadrer ou de visionner les enregistrements de manière autonome. Elle dispose néanmoins d'une connectivité Wi-Fi permettant de la télécommander et de transférer des fichiers depuis un téléphone.
L'appareil dispose d'une lentille ultra grand angle et d'un capteur de 14 millions de pixels plus banals. Il peut photographier avec un angle de 160° et à un maximum de 10 i/s, et offre une fonction de détection des visages permettant d'optimiser la mesure de l'exposition pour ces derniers. Il filme en outre avec un angle maximal de 137° (dû au ratio 16:9) et avec une stabilisation électronique, de 30 i/s en 1080p à 120 i/s 480p. L'ensemble lentille capteur semble pouvoir pivoter, ce qui facilite la fixation de la caméra en évitant de recourir à un coude. Signalons enfin la présence d'un micro stéréo avec deux grands évents, qui devraient offrir une bonne qualité sonore.
La caméra miniature Ricoh WG-M1 sera disponible en France au début du mois d'octobre pour 230 euros.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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