L'annonce d'une nouvelle carte graphique telle que la NVIDIA GeForce GTX 580 lancée aujourd'hui se traduit comme à l'accoutumée par la publication d'un test, puis d'une actualité recensant les multiples annonces des fabricants. De nouveau, les produits du lancement se suivent et se ressemblent. Cette fois toutes les cartes font appel au système de refroidissement du modèle de référence, la seule démarcation étant pour certaines un léger overclocking.
Un simple autocollant pour de nombreux modèles
Gigabyte, MSI, PNY et Zotac s'en tiennent ainsi strictement au modèle de référence pour chacune de leur unique carte. Leur GPU, leurs 512 cœurs CUDA et leur 1,5 Go de mémoire sont donc cadencés à respectivement 772, 1544 et 4008 MHz.
La plupart des cartes calquées sur le modèle de référence sont disponibles dès à présent pour environ 500 euros.
D'autres augmentent la cadence
L'édition « FTW Hydro Copper 2 » d'EVGA fait exception, puisqu'elle bénéficie d'un waterblock de marque Swiftech recouvrant l'intégralité de la carte. De quoi pousser le GPU, les unités de calcul et la mémoire à respectivement 850, 1700 et 4196 MHz. Elle n'est en revanche pas autonome et doit être reliée au circuit de watercooling d'un ordinateur déjà équipé. Elle ne sera vendue qu'un peu plus tard pour 600 dollars.
L'édition « SuperClocked » du même fabricant se contente d'un gain anecdotique avec 797, 1594 et 4050 MHz dans le même ordre, pour 520 dollars.
S'il ne s'encombre certes d'aucun modèle de référence, ASUS parvient malgré tout à faire moins avec seulement 782 MHz pour le GPU, soit un gain de seulement 1,5 % ! Les deux autres fréquences restant tout simplement inchangées. En contre-partie elle n'est vendue que 480 euros.
Gainward va plus loin avec sa traditionnelle édition « Golden Sample » offrant des fréquences de 835, 1670 et 4200 MHz, pour un tarif encore non communiqué.
Palit propose enfin une édition « Sonic », qui grimpe tout de même à 850, 1670 et 4200 MHz avec le système de refroidissement d'origine. Elle est disponible dès à présent pour 500 euros.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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