Art Lebedev continue à occuper le terrain, quatre ans après le lancement d'un clavier hors du commun facturé 1500 euros. Mercredi, sur son blog, le studio de design russe a effectivement fait le point sur le reste de la gamme. Il commence même à prendre les précommandes sur trois nouveautés, qui ne seront pas disponibles de si tôt pour autant, révélant pour l'occasion leur tarification.
293 x 186 x 19 mm
Optimus Popularis
L'« Optimus Popularis » devrait être le premier à voir le jour : les livraisons sont prévues pour... juin 2012, plus de deux ans après son annonce. À environ 750 euros, le nouveau venu n'est pas seulement la variante « du peuple » de l'Optimus Maximus, c'est surtout une alternative au toucher et aux dimensions plus conventionnels.
Chacune de ses 80 touches surplombe un petit écran couleur, LCD et non OLED comme c'était initialement prévu, de 64 x 64 pixels et de 12,5 x 12,5 mm, qu'un bandeau LCD occupant toute la largeur du clavier vient compléter.
Au travers d'un logiciel de paramétrage disponible pour Windows ou Mac OS, l'ensemble permet d'afficher indifféremment n'importe quelle disposition de touches, que ce soit avec l'alphabet latin, arabe, cyrillique ou asiatique, mais aussi et surtout les icônes des touches de raccourci des logiciels ou jeux vidéo utilisés.
Optimus Mini Six
L'« Optimus Mini Six » sera quant à lui livré à partir de novembre 2012, au prix « public » de 260 euros. Ce modèle est comme son nom l'indique une variante à six touches de l'Optimus Popularis. Il adopte la même mécanique et la même technique dans un format ultra-compact.
Optimus Aux
L'« Optimus Aux » accompagnera enfin l'Optimus Mini Six au même moment, au prix de 370 euros. Pour 110 euros de plus que ce dernier, il offre 15 touches et reprend la mécanique et la technique de l'Optimus Maximus original, avec des touches sensiblement plus grandes (20,2 x 20,2 mm) et au toucher moins adapté à la frappe, mais des écrans OLED de 10,1 x 10,1 mm. Ce modèle requiert un adaptateur secteur mais abrite en contrepartie un concentrateur USB à deux ports.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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