Le spécialiste des dashcams RoadEyes veut étendre les fonctionnalités de ces appareils pour les rendre plus divertissants et donc les populariser. Il a ainsi développé la recSMART, qu'il présente comme « la première dashcam connectée et sociale ».
Jusqu'à présent, les automobilistes s'équipaient d'une dashcam principalement pour leur sécurité, c'est-à-dire pour prouver les responsabilités en cas d'accident. Il leur arrivait ainsi d'obtenir des vidéos intéressantes ou insolites, mais en tant qu'effet secondaire.
La RoadEyes recSMART quant à elle mise en premier lieu sur des usages moins anxiogènes. Munie d'un capteur Full HD, d'une lentille grand angle à 140°, d'un GPS, d'une connectivité Wi-Fi et fixée au pare-brise, cette caméra filme automatiquement la route dès qu'on met le contact.
Le Wi-Fi permet de récupérer facilement les vidéos sur son smartphone, sans avoir à extraire la carte microSD de 8 Go ni à utiliser un ordinateur. Une application maison permet de partager ses plus beaux trajets sur un réseau social dédié, un « Instagram de la route », comme nous le présente un représentant de la marque au MWC. L'application offre même une fonction de live streaming, de diffusion en direct, qui permet à la communauté de consulter l'état du trafic d'une autre manière, ou tout simplement de s'évader en se connectant à un automobiliste roulant à l'autre bout de la planète.
Les fonctions de caméra de sécurité sont naturellement maintenues. La caméra détecte les chocs pour conserver des preuves. Aimantée à son support et munie d'une petite batterie, la caméra présente en plus la particularité de se détacher facilement, afin de filmer brièvement à l'extérieur du véhicule en cas d'accrochage.
Si la campagne Kickstarter réussit, la RoadEyes recSMART sera vendue 200 euros avec un support et une carte mémoire de 8 Go. La marque vise un lancement au mois de mai. Dans le cadre de la campagne, on peut l'acquérir au prix préférentiel de 130 euros.
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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