Avec les GeForce RTX série 40, ZOTAC met le paquet sur le gaming

15 décembre 2023 à 17h07
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Partenaire de NVIDIA depuis de nombreuses années, ZOTAC ne pouvait pas manquer le virage des GeForce RTX série 40 et les innovations qui lui sont rattachées. Depuis la compacte GeForce RTX 4060 Solo jusqu’aux monstrueuses AMP Extreme Airo disponibles en version RTX 4080 ou RTX 4090, il y a des cartes graphiques pour tous les goûts à son catalogue.

La puissance de calcul des GeForce RTX série 40

Conçue pour succéder aux excellentes GeForce RTX série 30 dites Ampere, la gamme Ada Lovelace est présentée par NVIDIA le 20 septembre 2022. Il était alors question d’offrir plus de puissance et une plus grande efficacité afin de donner aux joueurs un matériel à la hauteur. Un matériel n’est pas tout à fait juste puisque, bien sûr, il y a très vite eu plusieurs GeForce RTX série 40.

Le processeur graphique grand public le plus puissant jamais conçu © NVIDIA
Le processeur graphique grand public le plus puissant jamais conçu © NVIDIA

Au cœur de ces nouvelles GeForce, l'architecture Ada Lovelace est un pari majeur pour NVIDIA qui a certes doublé le nombre de multiprocesseurs de flux, intégré des cœurs Tensor de quatrième génération et des cœurs RT de troisième génération, mais qui se repose aussi beaucoup sur l’intelligence artificielle (IA) pour offrir les performances attendues par les utilisateurs. Cette IA est déjà mise à contribution sur les GeForce RTX série 30, mais là, l’ambition est bien plus grande.

Enfin profiter du ray tracing

Depuis l’introduction des GeForce RTX, NVIDIA souhaite pousser l’utilisation de la technologie de ray tracing ou lancer de rayon en français. Il s’agit ici de faire partir un rayon pour chaque pixel de la scène à générer. Ce rayon part de la « caméra » en direction de chaque source de lumière présente dans la scène en question.

Schéma de la "global illumination" du ray tracing © NVIDIA
Schéma de la "global illumination" du ray tracing © NVIDIA

Dès lors, le chemin parcouru par le rayon est analysé afin de déterminer la couleur que doit prendre le pixel en fonction des diverses sources de lumière bien sûr, mais aussi de la présence d’autres objets et des propriétés de toutes les surfaces. Le rendu graphique est tout à la fois bien plus réaliste, mais aussi plus simple pour les créateurs de jeux qui n’ont pas à « imaginer » tous les effets de lumière, au risque de se tromper d’ailleurs.

Le path tracing ou l'implémentation complète du ray tracing, sur Alan Wake 2 © NVIDIA
Le path tracing ou l'implémentation complète du ray tracing, sur Alan Wake 2 © NVIDIA

En revanche, le ray tracing est aussi bigrement gourmand en ressources graphiques. Les GPU RTX de NVIDIA ont justement été créés dans le but d’accélérer ces calculs si particuliers et les gains observés, génération après génération, sur les jeux les exploitant le ray tracing sont impressionnants. Bien sûr, tous les jeux n’exploitent pas la technologie de la même manière et Alan Wake 2 ou Cyberpunk 2077: Phantom Liberty sont aujourd'hui les meilleurs ambassadeurs de NVIDIA sur cette technologie.

Frame generation : l’IA en force

Sans qu’il soit nécessairement question de ray tracing, NVIDIA a mis au point la technologie DLSS afin de venir en aide aux GPU les moins puissants et que leurs possesseurs puissent malgré tout profiter d’une belle fluidité de l’animation dans leurs jeux préférés. Ça, c’était avant et, avec le temps, le DLSS est devenu une arme majeure pour NVIDIA, et ce, quelle que soit la carte dont il est question.

Le DLSS 2 apportait déjà une belle amélioration © NVIDIA
Le DLSS 2 apportait déjà une belle amélioration © NVIDIA

Bien sûr, sur les cartes d’entrée de gamme, il s’agit toujours de recourir à l’IA pour super-échantillonner un rendu que le GPU réalise dans une définition relativement faible. Ainsi, une image calculée en 1 600 x 900 pourra s’afficher en Full HD sans que l’on ait l’impression d’une quelconque triche, l’IA s’étant chargée de calculer les points manquants… et si le DLSS 1 était encore loin d'être parfait, les progrès réalisés sur le DLSS 2 sont impressionnants.

Avec le DLSS 3, NVIDIA a introduit le frame generation © NVIDIA
Avec le DLSS 3, NVIDIA a introduit le frame generation © NVIDIA

Impressionnants, mais encore insuffisants pour NVIDIA qui voit plus grand avec le frame generation (génération d’image). Cette fois, l’IA est mise à contribution non plus pour seulement extrapoler un rendu, mais pour calculer l’intégralité d’une image sur deux. L’IA s’appuie sur les images précédentes pour déterminer la « direction » de chaque pixel et obtenir des vecteurs aussi précis que possible. En combinant l’extrapolation (ou super-échantillonnage) et la génération d’images, NVIDIA se plait à préciser que les 7/8e d’une scène sont maintenant « rendus » par l’IA.

L'activation du ray tracing (à droite) améliore largement le rendu sur Alan Wake 2 © NVIDIA
L'activation du ray tracing (à droite) améliore largement le rendu sur Alan Wake 2 © NVIDIA

L’intérêt du ray reconstruction

NVIDIA en veut cependant encore plus et à mesure que le ray tracing s’est développé, il est devenu évident qu’il était possible d’en affiner les résultats. Alors que la génération d’image aboutissait au DLSS 3, il est maintenant question de DLSS 3.5 avec le ray reconstruction ou reconstruction de rayon dont l’objectif est d’améliorer le résultat de l’analyse des rayons envoyés depuis chaque pixel.

Quelques un des défauts liés à l'utilisation des denoisers © NVIDIA
Quelques un des défauts liés à l'utilisation des denoisers © NVIDIA

Tel qu’il est utilisé, le ray tracing aboutit effectivement à une espèce de « plan d’ensemble » de la scène, mais un plan imparfait où des défauts visuels – certes mineurs – peuvent survenir. Défauts mineurs, mais inacceptable alors que, justement, on cherche à obtenir une image aussi parfaite que possible. La reconstruction de rayons est là pour y remédier en combinant les multiples étapes du traitement de l’image.

Schéma général du fonctionnement du DLSS3.5 © NVIDIA
Schéma général du fonctionnement du DLSS3.5 © NVIDIA

Intégrée au DLSS 3.5, la reconstruction de rayon aboutit à un traitement global plus « intelligent » de l’image. Les différentes techniques mises en œuvre travaillant maintenant de pair, elles disposent de plus d’informations pour mieux traiter les éléments visuels et éviter, par exemple, que le reflet, fugace, dans une flaque d’eau ne vienne complètement « flouter » le visage d’un personnage ou les inscriptions d’un panneau publicitaire.

La reconstruction de rayon dans toute sa splendeur sur Cyberpunk 2077 © NVIDIA
La reconstruction de rayon dans toute sa splendeur sur Cyberpunk 2077 © NVIDIA

Outils variés pour joueurs et créateurs inspirés

À côté de ces différentes techniques liées à l’affichage, les GeForce RTX série 40 profitent d’outils destinés à différents profils d’utilisateurs. Par exemple, Reflex est une technique qui vise à améliorer nettement la latence générale du PC de sorte que même sur un jeu ultra-compétitif, le temps de réaction de la machine ne soit plus un frein.

NVIDIA Reflex © NVIDIA
NVIDIA Broadcast © NVIDIA

Reflex contribue à améliorer nettement la précision des joueurs et Broadcast ouvre de nouvelles perspectives aux créateurs de contenus © NVIDIA

Dans un registre un peu différent, les utilisateurs de cartes GeForce RTX série 40 profitent de Broadcast, une application conçue pour transformer le PC en petit studio vidéo personnel. Avec les outils fournis par NVIDIA exploitant la puissance des GPU Ada Lovelace, on peut éliminer les interférences sonores, mais aussi modifier très largement l’arrière-plan de la vidéo pour s’afficher avec un jeu en tâche de fond… ou dans un environnement paradisiaque.

Des cartes pour tous les goûts, tous les budgets

Au catalogue de ZOTAC, on ne dénombre pas moins de 27 modèles différents de GeForce RTX série 40. En retirant les versions « White Edition », il reste encore 22 cartes qui se partagent les faveurs des solutions NVIDIA RTX 4000. Il n’est pas question de toutes les envisager ici, mais quatre modèles méritent assurément une attention particulière.

ZOTAC GeForce RTX 4060 Ti Twin Edge 8 Go © ZOTAC
ZOTAC GeForce RTX 4070 Twin Edge 12 Go © ZOTAC
ZOTAC GeForce RTX 4080 Trinity 16 Go © ZOTAC

De la plus petite à la grande, la gamme ZOTAC GAMING GeForce RTX série 40 © ZOTAC

Surpuissante, la ZOTAC GAMING GeForce RTX 4080 Trinity 16 Go est équipée de trois ventilateurs pour évacuer la chaleur produite par une carte aux performances affolantes. De l’autre côté du spectre, on trouve les plus raisonnables ZOTAC GAMING GeForce RTX 4060 Ti Twin Edge 8 Go et ZOTAC GAMING GeForce RTX 4060 Twin Edge8 Go. Le DLSS 3 reste de mise et le système Freeze Fan Stop assure un fonctionnement en toute discrétion lorsque le GPU n’est que peu sollicité.

ZOTAC GeForce RTX 4070 Twin Edge 12 Go © ZOTAC
ZOTAC GeForce RTX 4070 Twin Edge 12 Go © ZOTAC

La GeForce RTX 4070 Twin Edge 12 Go est un bon compromis taille/puissance © ZOTAC

À mi-chemin, la ZOTAC GAMING GeForce RTX 4070 Twin Edge 12 Go s’adresse aux joueurs exigeants sans qu’ils aient à hypothéquer leur maison. Elle est conçue autour du GPU AD104-250-A1. Fabriquée par TSMC pour NVIDIA, la puce est dotée de 35 milliards de transistors pour 5 888 cœurs CUDA. Sa fréquence atteint 2 475 MHz en boost et ZOTAC lui associe 12 Go de GDDR6X pour une bande passante de 504 Go/s, suivant ainsi les recommandations officielles.

L’exemple de la RTX 4070 Twin Edge 12 Go

En revanche, comme il est de coutume chez les partenaires de NVIDIA, la solution de refroidissement est « personnalisée ». ZOTAC met en œuvre une solution que les habitués de la marque connaissent et apprécient, l’IceStorm ici en version 2.0. Premier bon point, en se basant sur un système à deux ventilateurs, ZOTAC réduit l’encombrement de la carte : à 22,5 centimètres de long, c’est une des RTX 4070 les plus compactes sur le marché.

ZOTAC GeForce RTX 4070 Twin Edge 12 Go © ZOTAC
ZOTAC GeForce RTX 4070 Twin Edge 12 Go © ZOTAC

Notez les 4 caloducs pour dissiper plus efficacement la chaleur © ZOTAC

Les ventilateurs sont dotés de tampons anti-vibrations pour limiter les nuisances sonores et leur vitesse de rotation est adaptée, indépendamment sur l’un et l’autre, afin d’offrir les meilleures performances. Enfin, ces deux ventilateurs évacuent la chaleur dissipée par le radiateur central traversé de caloducs en cuivre disposés verticalement afin d’augmenter la surface de contact avec le GPU. Ils sont constitués de couches composites pour être plus efficaces encore.

Une connectique classique, mais parée à toute éventualité © ZOTAC
Une connectique classique, mais parée à toute éventualité © ZOTAC

Bien sûr, comme n’importe quelle GeForce, la ZOTAC GAMING GeForce RTX 4070 Twin Edge 12 Go est dotée d’une abondante connectique vidéo lui ouvrant la voie à la réalité virtuelle (VR) : les trois DisplayPort 1.4a autorisent jusqu’au 7 680 x 4 320 @ 60 Hz tandis que l’unique HDMI est compatible 4K @ 120 Hz ou 8K @ 60 Hz avec HDR et taux de rafraîchissement variable (VRR). Impeccable pour jouer sur la grande télé du salon !

Quelles performances en attendre ?

La ZOTAC GAMING GeForce RTX 4070 Twin Edge 12 Go n’est donc pas la plus puissante carte du catalogue ZOTAC. Pour autant, l’utilisation des dernières technologies innovantes de NVIDIA lui permet d’assurer des performances de premier plan, même sur les jeux les plus lourds.

Performances relevées sur Cyberpunk 2077: Phantom Liberty © Clubic
Performances relevées sur Cyberpunk 2077: Phantom Liberty © Clubic

Nous prenons ici l’exemple de la vitrine technologie qu’est Cyberpunk 2077: Phantom Liberty. Au niveau de détails graphiques le plus élevé avec activation du ray tracing et de sa version la plus complète, le path tracing, les résultats sont évidemment en retrait.

En revanche, le fait d'activer DLSS avec l’option de génération d’image (frame generation) décuple les performances. En Full HD (1080p), Cyberpunk 2077: Phantom Liberty devient parfaitement jouable avec une moyenne autour des 84 images par seconde et si le minimum est sous les 60 ips, cela n'arrive en réalité pratiquement jamais.

L'éclairage globale dans Cyberpunk 2077 profite énormément du ray tracing © NVIDIA
L'éclairage globale dans Cyberpunk 2077 profite énormément du ray tracing © NVIDIA

Tout en améliorant la finesse graphique, l’activation supplémentaire de la reconstruction de rayon (ray reconstruction) dope les résultats obtenus. Sur Cyberpunk 2077: Phantom Liberty c’est peut-être juste pour le passage au 1440p – encore que – mais dans la plupart des autres jeux, cette définition devient clairement le standard.

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