Sony a confirmé hier le lancement de ses téléviseurs Ultra HD d'entrée de gamme. La série X85, dévoilée au CES 2014 puis détaillée au mois de mars, est effectivement disponible en France, à des prix plus bas que prévu.
Sony a lancé des téléviseurs Ultra HD plus abordables, presque comme prévu, début juillet au lieu de fin juin. Il répond ainsi à Samsung ou à Philips qui proposent cette année des téléviseurs dernier cri Ultra HD au prix de séries Full HD haut de gamme de la gamme précédente.
Il a d'ailleurs revu à la baisse le prix de deux des trois modèles :
le Sony KD-49X8505B de 49 pouces (123 cm) est vendu 1 600 euros au lieu des 1 800 prévus
le Sony KD-55X8505B de 55 pouces (139 cm) est quant à lui à 2 300 euros au lieu de 2 500
le Sony KD-65X8505B de 65 pouces (164 cm) reste en revanche à 3 500 euros
En outre le fabricant profite du lancement pour proposer une offre de remboursement abaissant encore les prix. Pour un achat entre le 1er juillet et le 31 août, Sony rembourse 250 et 400 euros sur les modèles de 55 et de 65 pouces, ce qui ramène les prix à 2 050 et 3 100 euros.
Une série équilibrée sans haut-parleurs superflus
Ces téléviseurs Sony de la série X85 bénéficient pour rappel de dalles dites Triluminos, offrant une plus grande saturation des couleurs, ainsi que d'une puce de traitement X-Reality Pro 4K, comme les modèles haut de gamme de la série X9. Il s'en distinguent principalement par leur système sonore : au lieu de haut-parleurs à « fluide magnétique » proéminents en face avant, ils se contentent de haut-parleurs « ClearAudio+ » plus conventionnels.
Mais les haut-parleurs intégrés à un téléviseur haut de gamme sont sans importance tant il est aberrant de profiter d'une image Ultra HD sans disposer aussi d'une sonorisation home cinema digne de ce nom, au minimum 5.1. D'autant qu'en contrepartie les téléviseurs bénéficient d'un dessin minimaliste.
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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