Google a annoncé mercredi dans le cadre de la conférence inaugurale du Google I/O 2014 une nouveauté ingénieuse qui mérite qu'on la détaille : la possibilité de caster du contenu sans se connecter au même réseau qu'un Chromecast.
La conception du Chromecast permet de nombreux usages collaboratifs. YouTube, Photowall ou encore Deezer par exemple permettent à plusieurs utilisateurs de confectionner des listes de lecture et des diaporamas depuis leurs téléphones respectifs.
C'est parce que les terminaux se contentent de désigner au Chromecast quels contenus il doit ouvrir (sous forme de simples URL), au lieu de les diffuser en streaming, que plusieurs intervenants peuvent cohabiter.
Mais pour cela il fallait jusqu'à présent se connecter au même réseau, et donc réclamer puis saisir une clé Wi-Fi, une étape pouvant décourager l'hôte ou ses invités. Il suffit pourtant d'identifier le Chromecast, puisque tout (ou presque) peut ensuite transiter par Internet. Certains services reposent ainsi sur un code affiché à l'écran, ce qui ne fait que décaler le problème de la configuration rébarbative.
Désormais l'identification pourra se faire par... ultrasons ! Le Chromecast émettra en permanence, au travers des haut-parleurs du téléviseur auquel il est relié, un son inaudible contenant son identifiant unique. Un smartphone à proximité entendra ce matricule et pourra dès lors télécommander l'appareil via Internet, y compris au travers d'une connexion cellulaire (3G/4G).
Cette fonctionnalité sera disponible dans quelques semaines, dans le cadre d'une mise à jour qui apportera également la possibilité de personnaliser l'écran d'accueil avec des photos personnelles, de l'actualité ou la météo.
Tous les autres appareils reposant sur la technologie Google Cast, à commencer par les terminaux Android TV, pourraient eux aussi bénéficier de cette fonction.
Rediff' : notre présentation vidéo des Google Glass :
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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