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La musique piratée a représenté en 2003 un marché illégal de 4,5 milliards de dollars, selon l'IFPI (International Federation of the Phonographic Industry).
La Fédération internationale de l'industrie phonographique (www.ifpi.org) estime à 4,5 milliards de dollars les ventes mondiales de musique piratée en 2003.
Dans son communiqué daté du 22 juillet 2004, l'IFPI a par ailleurs précisé que les ventes globales de musique piratée atteignent 1,1 milliard de cd. L'an dernier, près de 35% des cd audio vendus à travers le monde étaient des copies illégales, soit une augmentation de 4% par rapport à 2002.
L'IFPI affirme que cette croissance du marché illégale, néfaste à l'industrie du disque, s'explique à la fois par "la montée en puissance du crime organisé, l'apathie des autorités gouvernementales et la corruption."
Basée en Angleterre, à Londres, disposant de bureaux à Bruxelles, Hong Kong, Miami et Moscou, l'IFPI représente l'industrie du disque à travers le monde. La Fédération regroupe plus de 1400 membres répartis sur 75 pays, dont les majors Warner, Universal, EMI, Sony et BMG, ainsi que des organisations professionnelles affiliées dans 48 pays.
Ses priorités : lutter contre la copie illégale de musique, promouvoir le développement d'un marché transparent ainsi que le respect des droits sur la propriété intellectuelle et des droits d'auteur, accompagner la création de législations et technologies qui permettent à l'industrie du disque de prospérer à l'ère du numérique.
Le mois dernier, l'International Federation of the Phonographic Industry a entamé des poursuites contre des particuliers accusés d'échange illégal de fichiers musicaux en volume sur Internet, au Danemark en particulier.
Jeudi, l'IFPI a appelé les gouvernements de quatre pays d'Asie (Chine, Pakistan, Taiwan, Thaïlande), trois d'Amérique Latine (Brésil, Mexique, Paraguay) et trois pays européens (Espagne, Russie, Ukraine) à adopter des politiques fermes pour mieux lutter contre la copie et la distribution illégale de musique.
La Fédération internationale de l'industrie phonographique (www.ifpi.org) estime à 4,5 milliards de dollars les ventes mondiales de musique piratée en 2003.
Dans son communiqué daté du 22 juillet 2004, l'IFPI a par ailleurs précisé que les ventes globales de musique piratée atteignent 1,1 milliard de cd. L'an dernier, près de 35% des cd audio vendus à travers le monde étaient des copies illégales, soit une augmentation de 4% par rapport à 2002.
L'IFPI affirme que cette croissance du marché illégale, néfaste à l'industrie du disque, s'explique à la fois par "la montée en puissance du crime organisé, l'apathie des autorités gouvernementales et la corruption."
Basée en Angleterre, à Londres, disposant de bureaux à Bruxelles, Hong Kong, Miami et Moscou, l'IFPI représente l'industrie du disque à travers le monde. La Fédération regroupe plus de 1400 membres répartis sur 75 pays, dont les majors Warner, Universal, EMI, Sony et BMG, ainsi que des organisations professionnelles affiliées dans 48 pays.
Ses priorités : lutter contre la copie illégale de musique, promouvoir le développement d'un marché transparent ainsi que le respect des droits sur la propriété intellectuelle et des droits d'auteur, accompagner la création de législations et technologies qui permettent à l'industrie du disque de prospérer à l'ère du numérique.
Le mois dernier, l'International Federation of the Phonographic Industry a entamé des poursuites contre des particuliers accusés d'échange illégal de fichiers musicaux en volume sur Internet, au Danemark en particulier.
Jeudi, l'IFPI a appelé les gouvernements de quatre pays d'Asie (Chine, Pakistan, Taiwan, Thaïlande), trois d'Amérique Latine (Brésil, Mexique, Paraguay) et trois pays européens (Espagne, Russie, Ukraine) à adopter des politiques fermes pour mieux lutter contre la copie et la distribution illégale de musique.
