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Alternatives à Kazaa ou eMule, les sites peer-to-peer Grokster et Morpheus viennent de gagner en appel un procès qui les opposait à l'industrie du disque
Pirates 1, Justice 0 ? Alternatives à Kazaa ou eMule, les sites peer-to-peer Grokster et Morpheus viennent de gagner en appel un procès qui les opposait à l'industrie du disque à l'initiative d'une trentaine de labels dont Disney ou Universal.
La Justice a en effet jugé que ces deux sites d'échange de fichiers musicaux "ne pouvaient être tenues pour responsables du fait que certains utilisateurs violent les droits des artistes et éditeurs en échangeant des fichiers piratés sur l'internet. " et qu'ils se rapprochaient ainsi du fonctionnement d'un magnétoscope...
Contrairement à Napster qui fonctionnait avec un serveur central et dont les majors avaient obtenu la fermeture, Grokster et Morpheus ne centralisent aucune des recherches des internautes et ce sont ces derniers qui sont donc responsables di piratage des œuvres musicales selon la justice américaine. Tout comme en France avec l'initiative de la SNEP, les maisons de disques américaines devraient donc désormais se tourner vers ces seuls internautes pour réclamer des réparations.
Pirates 1, Justice 0 ? Alternatives à Kazaa ou eMule, les sites peer-to-peer Grokster et Morpheus viennent de gagner en appel un procès qui les opposait à l'industrie du disque à l'initiative d'une trentaine de labels dont Disney ou Universal.
La Justice a en effet jugé que ces deux sites d'échange de fichiers musicaux "ne pouvaient être tenues pour responsables du fait que certains utilisateurs violent les droits des artistes et éditeurs en échangeant des fichiers piratés sur l'internet. " et qu'ils se rapprochaient ainsi du fonctionnement d'un magnétoscope...
Contrairement à Napster qui fonctionnait avec un serveur central et dont les majors avaient obtenu la fermeture, Grokster et Morpheus ne centralisent aucune des recherches des internautes et ce sont ces derniers qui sont donc responsables di piratage des œuvres musicales selon la justice américaine. Tout comme en France avec l'initiative de la SNEP, les maisons de disques américaines devraient donc désormais se tourner vers ces seuls internautes pour réclamer des réparations.
