Samsung étend sa gamme Galaxy A, qui comprend à ce jour trois smartphones et qui incarne son milieu de gamme, avec la présentation hier de deux premières tablettes Galaxy Tab A.
Mise à jour : Samsung France a annoncé le lancement du modèle de 9,7 pouces, en versions Wi-Fi et 4G, au mois de mai
Les Samsung Galaxy Tab A 8 et A 9.7 présentent la particularité d'arborer des écrans au format 4:3, une première pour des tablettes Samsung. Ils mesurent comme les références l'indiquent 8 et 9,7 pouces de diagonale, et ils n'affichent qu'une définition modeste de 1024 x 768 pixels. Le type de dalle n'est en outre pas précisé.
À l'instar des téléphones Galaxy A ces tablettes misent sur une grande finesse, puisqu'elles ne mesurent que 7,5 mm d'épaisseur, mais elles ne bénéficient pas en revanche d'une coque en aluminium.
Les deux modèles partagent la totalité de leur fiche technique. Les deux tablettes abritent une puce Qualcomm Snapdragon 410 à quatre cœurs ARM Cortex-A53 à 1,2 GHz, associée à Android 5.0 Lollipop et pouvant donc fonctionner en 64 bits, ce qui apporte un gain de performances. Elles embarquent 1,5 Go de mémoire vive, 16 Go de mémoire interne, extensible de 128 Go par le biais d'une microSD, des capteur frontaux et dorsaux de 2 et 5 millions de pixels, et une connectivité micro-USB, Bluetooth 4.0, Wi-Fi 802.11n et 4G LTE en option.
Ces Samsung Galaxy Tab A 8 et A 9.7 sont attendues aux Pays-Bas, et donc probablement dans d'autres pays d'Europe, au début du mois de mai. Elles seraient vendues respectivement 300 et 350 euros en versions Wi-Fi, et 70 euros de plus en version 4G. Le modèle 8 pouces serait donc vendu au prix de l'iPad mini 2 d'Apple, dont l'écran Retina est quatre fois plus défini. Elles supplantent quoi qu'il en soit les Galaxy Tab 4 lancées il y a un an et complètent les Galaxy Tab S haut de gamme.
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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