En direct de Las Vegas. En plus de nombreux produits audiovisuels, Samsung lance également au CES de nouveaux ordinateurs, et en particulier deux « Series 7 » qui, conformément à la tendance, se mettent au tactile.
Samsung lance pour commencer le « Series 7 Ultra » qui est, comme son nom l'indique, un Ultrabook. Il arbore un écran de 13,3 pouces, qui mesure 17,5 ou 18,9 mm pour 1,46 ou 1,65 kg, selon que l'écran soit tactile ou non (en option). S'il l'est, il prend en compte jusqu'à 10 points de contact. Dans tous les cas, il présente l'intérêt d'afficher une définition Full HD (1920 x 1080 pixels) et d'offrir une confortable autonomie de 8 h.
Il abrite un processeur Intel Core i5 ou i7 à tension ultra basse (ULV), associée à une puce graphique dédiée Radeon HD 8570M dotée d'1 Go de mémoire GDDR3. L'ensemble est épaulé par un maximum de 16 Go de mémoire vive DDR3 et associé à un SSD d'un maximum de 256 Go. On trouve également une webcam HD 720p, un port USB 3.0, deux ports USB 2.0, une sortie HDMI, une sortie VGA requérant un adaptateur, un port Gigabit Ethernet, un lecteur de carte SD et un clavier rétro-éclairé.
Au format 15,6 pouces, le « Series 7 Chronos » n'est pas un Ultrabook mais il promet à la fois une grande puissance et une grande autonomie (11 h) aux professionnels en dépit de son épaisseur contenue de seulement 20,9 mm, pour un poids de 2,35 kg. Il affiche lui aussi une définition Full HD mais est tactile en standard.
Il abrite en standard un processeur Intel Core i7-3635QM à quatre cœurs, une puce graphique Radeon HD 8870M associée à 2 Go de mémoire GDDR5, avec fonction PowerExpress permettant de commuter du GPU intégré au GPU dédié pour économiser de l'énergie. On trouve également un maximum de 16 Go de mémoire vive DDR3, un disque dur d'un maximum de 1 To et la même connectique, agrémentée d'un port USB 3.0 supplémentaire.
Comme souvent sur un salon international comme le CES, aucune date ni aucun prix ne sont communiqués.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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