Pentax profite du CES 2013 pour enfin lancer un compact expert, après que tous ses concurrents ont lancé de tels appareils photo l'année dernière. Le « MX-1 » est en l'occurrence un modèle sans fioriture, misant notamment sur l'esthétique rétro.
Le « Pentax MX-1 » s'inspire effectivement des reflex argentiques traditionnels, avec deux surfaces planes noires ou argentées encadrant une partie en relief. La partie supérieure serait même en cuivre pour retrouver l'effet patiné avec le temps. La bague de l'objectif elle aussi est en métal.
Sur le plan ergonomique en revanche, ce nouveau venu s'en tient à l'essentiel avec une molette de sélection de mode, une molette de correction d'exposition mais aucune molette de réglage direct. On accèdera donc aux fonctions au travers des menus et du pavé directionnel. L'écran LCD de 3 pouces affichant une définition VGA est orientable sur l'axe vertical mais il n'est pas tactile, en dépit de sa relative épaisseur.
Sur le plan photographique proprement dit, le « MX-1 » dispose d'un zoom 4x équivalent à un 28-112 mm f/1,8-2,5. Il est plutôt lumineux mais certains concurrents offrent plus de recul. Il couvre un capteur CMOS rétro-exposé et stabilisé à 12 millions de pixels, pouvant photographier au format RAW et/ou jusqu'à 12800 ISO, et filmer jusqu'en Full HD 1080p. Faute de précision, on imagine qu'il est au format 1/2,3 pouce, le plus petit du segment.
Le « Pentax MX-1 » sera commercialisé en France dès la mi-février pour la coquette somme de 500 euros.
Màj : le capteur est en fait au format 1/1,7 pouce (7,44 x 5,58 mm), soit une taille équivalente à ceux des Panasonic LX7 ou Canon S110.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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