La politique de protection des données de l'Union Européenne est entrée en vigueur en mai 2018. Son application n'est cependant pas sans accroc, comme le montre une étude récente conduite par les universités du Michigan (Etats-Unis) et de la Ruhr à Bochum (Allemagne).
© PixieMe / Shutterstock.com De concert, Apple, Mozilla et Google ont entrepris de bannir un certificat utilisé par le gouvernement kazakh pour espionner ses citoyens en contournant le standard HTTPS. À travers cette prise de position, les trois principaux navigateurs du marché (Safari, Firefox et surtout Chrome) défient le régime autoritaire de Kassym-Jomart Tokaïev, élu en juin dernier.
© Facebook Facebook vous traque. Partout, tout le temps, et notamment grâce aux boutons Like, les commentaires et autres « Pixels » que les sites tiers peuvent mobiliser. Auparavant incontrôlables, ces données ainsi recueillies par Facebook peuvent désormais être passées en revue, et même supprimées.
© Pixabay Google, Microsoft, Intel et sept autres entreprises de la tech viennent de former le Consortium de la Confidentialité Informatique (CCC) avec pour objectif de sécuriser les données personnelles des utilisateurs à tous les niveaux.
Alors que la Russie a été accusée d'ingérence dans les élections américaines de 2016, le pays lui-même a aujourd'hui des difficultés avec son système de vote. Un chercheur français, Pierrick Gaudry, affirme y avoir trouvé une faille critique.
Des problèmes d'ordre administratif et technique ont retardé la mise en place du système de géolocalisation sur le sol français. La technologie, déjà implémentée dans de nombreux autres pays, est une aide précieuse pour les services de secours.
Credit : Roger Kisby Elle devait être une machine inviolable. Une garantie de sécurité pour les élections américaines à venir. Pour s'assurer de la fiabilité de sa machine à voter électronique, la DARPA a invité des hackers à venir la mettre à l'épreuve au cours de la Defcon.
À force d'être pris sous son aile, Instagram évolue un peu trop comme Facebook et fini lui aussi par être confronté à des soucis de protections des données de ses utilisateurs.
© Pixabay Le réseau social à l'oiseau bleu a fait une entorse au RGPD en utilisant des données de ses utilisateurs sans leur consentement, en marge de la diffusion de publicités cette dernière année.
Edward Snowden s'est fait connaître en tant que lanceur d'alerte. L'homme, d'origine américaine et ancien employé informaticien de la CIA et NSA, avait levé le voile sur une surveillance massive des USA.
La justice européenne considère qu'un site intégrant le fameux bouton de Facebook participe à la collecte de données orchestrée par le réseau social et doit demander le consentement de l'utilisateur.
Sophie Viger, directrice de l'école 42, à Monaco le 20 mai 2019 © Alexandre Boero pour Clubic.com
Les données de milliers de clients du courtier Active Assurances n'étaient pas protégées. La CNIL a décidé de le sanctionner.
New York (© Pixabay) New York pourrait devenir la première ville à bannir la vente de données de géolocalisation des consommateurs. La ville a proposé une loi en ce sens.
La France est le premier pays à transposer une partie de la directive européenne sur le droit d'auteur. Reste désormais à trouver un terrain d'entente entre les différents sites d'informations et les GAFAM.
En plus des cinq milliards de dollars d'amende que le réseau social s'est vu infligé par la Federal Trade Commission, il devra également payer une somme de 100 millions de dollars au gendarme de la Bourse américaine pour avoir caché des infirmations à ses investisseurs.
Le navigateur Chrome permet à ses utilisateurs de profiter d'extensions proposées par des développeurs. C'est d'ailleurs du côté de ces derniers que Google a décidé de resserrer la vis.
Selon la FTC (Federal Trade Commission), Google ne protège pas correctement les enfants qui utilisent Youtube. En effet, le service de diffusion vidéo collecte leurs données de manière inappropriée. Les détails n'ont pas été communiqués, mais l'amende pourrait s'élever à plusieurs millions de dollars.
© Pixabay La CNIL actualise ses cadres de référence et prépare une nouvelle recommandation qui précisera et renforcera les modalités de recueil du consentement aux cookies.
Depuis plusieurs années, les réseaux sociaux sont un lieu de prolifération de diverses organisations, notamment criminelles, et le terrain de communication privilégié des groupes terroristes. Ce constat a amené le FBI à réfléchir à un nouveau projet d'investissement dédié à la surveillance des réseaux de communication.
La stratégie marketing d'Epic Games est simple : se placer du côté des développeurs. Son Epic Games Store en est la preuve, privilégiant une plus grosse commission pour les studios - contrairement à Steam. Mais la firme développe également le moteur graphique Unreal Engine, proposé gratuitement : 5 % seulement est touché par Epic Games lorsque le produit est commercialisé et dépasse 3 000 dollars de bénéfices trimestriels.
Les autorités reprochent à Microsoft le nombre d'informations personnelles recueillies automatiquement par ses logiciels et services en ligne. L'éditeur américain se dit attentif à la question et explique vouloir trouver des solutions pour mieux contrôler cette collecte de données.
(Crédits : Pixabay) La petite cellule sera composée de futurologues et d'auteurs qui, dans le plus grand secret, proposeront des scénarios de disruption.
Le 19 août prochain, une réunion publique sera organisée par le bureau du représentant américain au commerce.
Crédits : Brave Brave, le navigateur Internet respectueux de la vie privée, a mis à jour sa version Android. Celle-ci apporte la fonctionnalité très attendue des Brave Rewards, coeur du modèle économique de l'entreprise.
Cette mesure gouvernementale viserait avant tout à endiguer les fake news sur les réseaux sociaux.
La Commission s'est penchée sur le cas des agences immobilières, qui pour certaines ne respectent pas la réglementation en matière de données personnelles recueillies grâce aux pièces justificatives fournies pour l'accès à la location.
La loi AVIA a été votée mardi à l'Assemblée Nationale à la majorité avec 433 voix pour, 33 contre et 69 abstentions.
Elles sont utilisées par des milliers de personnes, notamment pour connaître les sujets les plus en vogue. Mais les Néo-Zélandais devront se passer des alertes de Google Trends durant quelques temps. Suite à un faux pas et à un face-à-face du géant américain avec les grands élus, le service est suspendu dans le pays.