Orange a ouvert l'accès à la 4G à ses clients en déplacement à l'étranger dans six pays supplémentaires. Désormais le roaming fonctionne donc en 4G dans un total de 11 pays.
La multinationale Orange met à profit sa présence mondiale pour se distinguer en matière de roaming. Les clients d'Orange France peuvent effectivement bénéficier de la 4G dans une multitude de pays étrangers
Orange n'a inclut le roaming qu'à ses forfaits les plus haut de gamme, et dans des conditions moins avantageuses que ses concurrents Bouygues Telecom et Free, mais il propose également des options forfaitaires Go Europe et Go USA/Canada relativement accessibles, qui bénéficient elles aussi de la 4G.
De la 4G même avec les forfaits n'incluant pas la roaming
Depuis le 17 février les clients d'Orange France pouvaient bénéficier de la 4G dans cinq pays dans lesquels il opère : en Corée du Sud, en Espagne, aux Pays-Bas, au Portugal (où sa filiale s'appelle Optimus) et au Royaume-Uni.
Désormais ils peuvent également en bénéficier en Allemagne (où il détient une coentreprise avec Deutsche Telekom), en Belgique (où il est actionnaire majoritaire de Mobistar), en Italie, au Luxembourg, en Suisse et enfin au Canada, dans ce dernier cas au travers d'un partenariat avec un opérateur local.
Naturellement pour accéder à la 4G à l'étranger, il faut en bénéficier en France. Depuis le 6 février tous les forfaits Origami incluant de l'Internet y donnent droit, ainsi qu'un forfait Sosh. En 4G plus encore qu'en 3G, il conviendra de paramétrer soigneusement son téléphone à l'étranger, au risque de consommer tout son quota en seulement quelques minutes (voire secondes). On pourra en particulier désactiver toutes les opérations en arrière-plan, telles que les vérifications d'emails ou de mises à jour d'applications.
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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