Initialement destinées, comme leur nom l'indique, aux professionnels, les GoPro sont devenues des produits de grande consommation. Ces caméras miniatures et grand angles sont capables d'enregistrer de très bons souvenirs, mais elles sont sources de frustration lorsqu'on ne trouve pas le temps de monter ses plans, ce qui à terme dessert les ventes.
GoPro propose ainsi GoPro Studio, un logiciel de montage avec des modèles permettant aux vidéastes du dimanche de produire facilement des « vidéos GoPro » caractéristiques, rythmées et ambiancées.
Mais ce logiciel ne fonctionne que sur ordinateur alors que l'attention des utilisateurs est plus que jamais tournée vers les appareils mobiles.
Quik : du montage automatique et gratuit sur mobile
GoPro lance ainsi deux applications mobiles, comme convenu.
Pour commencer, Splice est l'alternative (mais pas le portage) à GoPro Studio pour iPhone et iPad. C'est une application de montage manuel permettant de découper des plans, d'en passer certains au ralenti, d'insérer des photos, une voix off, d'appliquer des transitions, et d'ajouter une bande sonore depuis sa bibliothèque ou depuis un catalogue gratuit.
Disponible également sur Android, Quik est encore plus simple. Comme son nom l'indique, elle mise sur la rapidité en réalisant automatiquement des montages. Fruit du rachat de l'application Replay, l'application proposée par GoPro est désormais entièrement gratuite.
Elle analyse les séquences pour en extraire les meilleurs moments et elle les synchronise au rythme de la musique. Une vingtaine de styles sont proposés, avec des transitions, des filtres et des typos spécifiques. L'utilisateur peut choisir la musique, ajouter du texte ou même des émojis.
Dans les deux cas, on peut partager le résultat directement sur Facebook, Instagram, ou dans sa pellicule et donc par le canal de son choix.
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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